. Le General Dourakine; . Et Mme Papofski tomba dans les bras du capitaine. (Page 282.) LE GÉNÉRAL DOURAKINE. 285 je pouvais lui extorquer encore quelque chose !Je verrai, je verrai. » Le mouvement de la voiture, les douleurs quelleressentait et le grand air firent revenir Mme Pa-pofski de son évanouissement. Elle se remit avecpeine sur la banquette de laquelle elle avait glissé,et se livra aux plus amères réflexions et aux plusterribles colères jusquà son retour à se coucha en arrivant, prétextant une mi-graine pour ne pas éveiller la curiosité des do-mestiques, et resta dans s


. Le General Dourakine; . Et Mme Papofski tomba dans les bras du capitaine. (Page 282.) LE GÉNÉRAL DOURAKINE. 285 je pouvais lui extorquer encore quelque chose !Je verrai, je verrai. » Le mouvement de la voiture, les douleurs quelleressentait et le grand air firent revenir Mme Pa-pofski de son évanouissement. Elle se remit avecpeine sur la banquette de laquelle elle avait glissé,et se livra aux plus amères réflexions et aux plusterribles colères jusquà son retour à se coucha en arrivant, prétextant une mi-graine pour ne pas éveiller la curiosité des do-mestiques, et resta dans son lit trois jours quatrième jour, quand elle voulut se lever, unmouvement extraordinaire se faisait entendredans la maison. ©2§>. Elle poussa un cri terrible et tomba en convulsions sur le parquet.(Page 289.) XVII PUNITION DES MÉCHANTS. Mme Papofski passa un peignoir, appela sesfemmes, qui ne répondirent pas à son appel, sesenfants qui avaient également disparu, et se dé-cida à aller voir elle-même quelle était la cause 288 LE GÉNÉRAL DOURAKINE. du tumulte quelle entendait de tous côtés. Dansle premier salon, il ny avait personne; dans lesecond salon, elle vit une multitude de caisses etde malles ; elle entra dans la salle de billard etvit, avec une surprise mêlée de crainte, plusieurshommes, parmi lesquels elle reconnut le Capitaineispravnik; ils causaient avec animation. En re-connaissant le Capitaine ispravnik, elle ne put re-tenir un cri deffroi ; venait-il larrêter et lemme-ner en prison? Chacun se retourna; un des hom-mes sapprocha delle, la salua, et lui demanda sielle était Maria Pétrovna Papofski. « Oui, répondit-elle dune voix étouffée parlémotion, je suis la nièce du général c


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