L'illustration : journal universel . lus bardi et plus léger peut- 4 56 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. être encore que le Grand-Pont. La gorge étroite du Gotteronsentrottvre du coté de la ville; les doux montagnes qui laterminent présentent au spectateur leurs lianes anguleux et boisés, tandis que leurs têtes sont cour lées chacune pai une tour qui défendait jadis lentrée de la ville du côté de la vallée. A droite, la tour de H guillon, suspendue sur un rocher a pic, se place perpendiculairement sur celle de laMaison-de-\ ille pour ajouter encore au pittoresque de sa po-sition. Plus au midi


L'illustration : journal universel . lus bardi et plus léger peut- 4 56 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. être encore que le Grand-Pont. La gorge étroite du Gotteronsentrottvre du coté de la ville; les doux montagnes qui laterminent présentent au spectateur leurs lianes anguleux et boisés, tandis que leurs têtes sont cour lées chacune pai une tour qui défendait jadis lentrée de la ville du côté de la vallée. A droite, la tour de H guillon, suspendue sur un rocher a pic, se place perpendiculairement sur celle de laMaison-de-\ ille pour ajouter encore au pittoresque de sa po-sition. Plus au midi, la charmante petite chapelle de Lorcttc,monument du zèle religieux de pères, placée entre ville et le magasin à poudre, comme pour protégei lune ellautre, fail entrevoir a la piété la mère de Dieu, qui jette dece point élevé un regard bienveillant sur sa vi 11 • ? dévouée etsemble étendre la main pour jurerde la proléger toujours. En-lin, dumilieu des maisons qui lentourent, comme des enfants. (Vue du pensionnât de Fr bourg, prise de la delle groupés autour de leur mde Saint-Nicolas avec pluspar Isans pay ttesqu struct stueusemenl la tour té du style gothiquenge. Cet imposant L encadré, a droite, par les Alpes et, à poulie, parle Jura, donl le Weissensteintermine la longue chaîne. Lesoleil, en se levant, dore lesglaces du mont Blanc, qui ap-paraît dans les beaux jourscomme une flamme rougeàtre,et au moment où cet astre \aprendre son repos, ses derniersregards éclairent les cimesdorées des monts de lOber-laml bernois couverl de neigesperpétuelles.» t a strophe suivante, deuxiè-me couplet dune chanson faite par un .les illeurs élèves des Kit. PP., résume :e que nous pourrions dire des résul-tats dusystème denseignementmis en pratique au pensionnatde Fribourg : Le son marrache à cet heureuxrivage, Pour mcii toujours si plein dap-pas; Ci loin île vous, soutien de monjeune âge Je vais porter mes tristes pas. Sou


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