L'illustration : journal universel . fille, et vous ne eaurinlaisser embrocher tout vif lenfant de votre medjeur ami,de ce brave capitaine Itdlapoil. qui vous a tauvé la vie aWagram Tirer lépén au lieu et placj du novice, leicdieiit est vulgaire ; il répugne d ailleurs aux sentiments .FldOibrt, qui no veut la mort de pertonne. Le spadasvest un faux brave, voilà qui est bien entendu. Supposert touche tout lemonde, il se laiise donner une eélafilade par le jeune con-scrit, si bien que le spadassin, effrayé de lfxploit, senfuitet court encore. La feinle a réussi ; elle nest guère plujneuve que la


L'illustration : journal universel . fille, et vous ne eaurinlaisser embrocher tout vif lenfant de votre medjeur ami,de ce brave capitaine Itdlapoil. qui vous a tauvé la vie aWagram Tirer lépén au lieu et placj du novice, leicdieiit est vulgaire ; il répugne d ailleurs aux sentiments .FldOibrt, qui no veut la mort de pertonne. Le spadasvest un faux brave, voilà qui est bien entendu. Supposert touche tout lemonde, il se laiise donner une eélafilade par le jeune con-scrit, si bien que le spadassin, effrayé de lfxploit, senfuitet court encore. La feinle a réussi ; elle nest guère plujneuve que la pièce, mais le public a ri aux éclats, bârJoulavait désarmé. .Nouvelle chute au Vaudeville : le Kegne dtt , Mossieura de la foire oui Jden, résignez-vous,voire règne est passé. Vuii un3 autre comédie qui nous arrive de le prospectus dun journal qui sintitule modettrmenlIn |, <-r nurn:,! <|ii nvinle enlitr, et lœuvre la pu» ei-. traordinairo do la presse contemporaine. Tentz, nos chorsvoisins doiilro-Manrhe et confrères fi bienveillants, on vouslaissera celilirer tant quil vous plaira la splendeur et la net-teté de vos procédé,^ matériels, mais jiarlez moins de la au-relé de voj infonnalions et de la fidélité scrupuleuse de vosimages, taieez-vous surtout sur la valeur littéraire de vo-tre recueil. Ce mérile-là no vous touche ^uère, et la majoritéde vos compatriotes ny lient pas plus que vous. Voiro jour-nal ni st pas une revue et encoro moins une bibliothèque,cest un musée, et jaccorde que lélran^or vous regarde otmême quil vous considère, mais il ne vous ht pas. IVriii^t-toz-noua do douter aussi ([uen passant par U pliim i do vosrédacteurs, la langue anglaise ait dc-lroné la langue de Vol-taire dans (cius les mondes. t)ui, vous êtes splendides , ma-gniliques et dorés sur Ira che, et vous parlez agréablementaux yjux, comme dit le Times quo vous cilez; mais quelramage pour un si beau plu


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