. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... -traction du voile du palais, et celledu larynx par labaissement delépiglotte. Lair pénètre normalement parle nez; il est réchauffé et renduhumide par le contact avec lesparoij humides aussi des fossesnasales; sil pa^se anormalement par la bouche,froid et rapidement, il en résulte des laryngites. Mais de toutes façons, durant le travail vocal, onutilise les deux voies. Et il faut considérer ces deuxconduits comme deux conducteurs phoniques. Le nez a ses deux orifices extrêmement mobiles : lesnarines en avant et lorifice postérie
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... -traction du voile du palais, et celledu larynx par labaissement delépiglotte. Lair pénètre normalement parle nez; il est réchauffé et renduhumide par le contact avec lesparoij humides aussi des fossesnasales; sil pa^se anormalement par la bouche,froid et rapidement, il en résulte des laryngites. Mais de toutes façons, durant le travail vocal, onutilise les deux voies. Et il faut considérer ces deuxconduits comme deux conducteurs phoniques. Le nez a ses deux orifices extrêmement mobiles : lesnarines en avant et lorifice postérieur. La bouche a son orilice antéiieur formé par leslèvres; lorifice postérieur correspond au pharynxet à la région du voile du palais extrêmement activedurant la formation verbale. B. — Organes <lc la iiasalisiition. 1° Nez, narines, fosses nasales. — nez, par sasituation au faite de lappareil vocal et par limpor-tance de ses maladies, doit être connu du proles-sionnel de la voix. Sa forme extérieure nindique guère sa disposition. FiG. 51. — Etude de la physionomie dans la parole. — Analyse physiolo-yique de la physionomie et du visaye animés par la parole. — Jeu du Riso-rius de Sanlorini. L. muscle stcrno-cleido-masloïdien; M, peaucicr. intérieure. Une cloison verticale et médiane le diviseen deux cavités, qui portent le nom de fosses la coupe pratiquée davant en arrière on voit dèslentrée dans la fosse nasale une sorte de vestibulepourvu de poils, qui ont pour effet darrêter les corpsétrangers nuisibles, transportés par lair. Ce vesti-bule est la narine. En bas, cest le plancher des fosses nasales, quinest autre que la voftte palatine. En dedans, la cloi-son nasale plus ou moins verticale, souvent déviéevers lune ou lautre fosse nasale et présentant par- m ENCrCLOPÉDIE DE LA MUSIQUE ET DICTIONNAIRE DU CONSERVATOIHE fois des saillies proéminentes connues sous le nomAÉperons. Ces déviations, ces éperons prov
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