. Les trois poèmes . écueils où le Taffe & Rouffeau ,Au fein de la tempête ont brifé leur ne me voioit point mandier des fuffrages,Applaudir ou blâmer dinfipides Ouvrages.,Encenfer la Fortune &: groffir les Foïers. (i)Virgile loin de Rome a cueilli fes Lauriers. ( i ) Trente ans. ( i ) Foïers de la Comédie , où les petits Dikrts fe trouvent ,.8c croient juger en dernier reiloru CHANT QUATRIEME. 4> A lombre des Forets , dans leurs routes confufes ,Au bord des clairs Ruirteaux je cultivois les Mufes ;Les Grâces 5c les Ris y fixaient leur féà , loir que le Soleil fît éclore
. Les trois poèmes . écueils où le Taffe & Rouffeau ,Au fein de la tempête ont brifé leur ne me voioit point mandier des fuffrages,Applaudir ou blâmer dinfipides Ouvrages.,Encenfer la Fortune &: groffir les Foïers. (i)Virgile loin de Rome a cueilli fes Lauriers. ( i ) Trente ans. ( i ) Foïers de la Comédie , où les petits Dikrts fe trouvent ,.8c croient juger en dernier reiloru CHANT QUATRIEME. 4> A lombre des Forets , dans leurs routes confufes ,Au bord des clairs Ruirteaux je cultivois les Mufes ;Les Grâces 5c les Ris y fixaient leur féà , loir que le Soleil fît éclore un beau jour ,Soit que lAltrc des nuits vînt éclairer les ombres,Sur la pente dun mont, fous des feuillages fombreS,Mêlant un doux travail à des jeux innocens ,Aux voix des Rofîignols junhTois mes accens. F I N. De lImprimerie de DIDOT, Quai des Augujlins , à la Bible dor. LES RESSOUPvCES DU GÉNIE, POESIES PHILOSOPHIQUES. Non ego ventofa: plebis fuffragia venor. Horat. lib. I. Epift. A LA HAYE, ET A PARIS, Chez P. D. LANGLOIS, rue Ju Petit Pont, près lepetit Châtclet, au Saint Efprit couronné. M. D C C. L X 1 X. i 11 i t * 11 i i *1 ! S 11 f •: tTXXtt 1111 | >ï 1 ?11 î g r * S - ? I I *** il -?.-.« = = ? : === à AVERTISSEMENT DE LÉDITEUR. U: ne Promenade dans un Parterre , àlombre dun Parc , ou le long dun Canal,invite naturellement lefprit à philofopher y8c philofopher, cfeft réfléchir fur différensObjets, Littérature, Phylique , Morale, Ri-dicules du tems, Anecdotes , &c. Ceft pournous conformer a cette opération ordinairede lefprit, quà la fuite dun Poëme Géor-gique , nous avons cru devoir raflembler les?morceaux de Pocfie quon va lire ; ils fontde la même main, &c nous efpérons quil?ne démentiront point les idées que la lectu-re du Poëme a pu faire concevoir. 11 y a des Aiij vj AFERTISS E MENI. Perfonnes que les Tableaux chcmpêtres tou-chent médiocrement: Non omnes arbuflaju*yant% Il faut donner à t
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