. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 376 A. GLIGNY. définitivement. Pour l'instant elle est terminée par une face à convexité très faible. Le cartilage dos pleurapophyses est assez analogue à celui de l'arcade neurale : on observe seulement que les cellules y sont un peu plus grosses, et l'aplatissement parallèle au contour ne s'y retrouve point, même à la périphérie. La côte offre déjà une ébauche cartilagineuse faite de petites cellules claires ayant chacune un gros noyau arrondi fortement coloré ; les membranes cellulaires sont restées
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 376 A. GLIGNY. définitivement. Pour l'instant elle est terminée par une face à convexité très faible. Le cartilage dos pleurapophyses est assez analogue à celui de l'arcade neurale : on observe seulement que les cellules y sont un peu plus grosses, et l'aplatissement parallèle au contour ne s'y retrouve point, même à la périphérie. La côte offre déjà une ébauche cartilagineuse faite de petites cellules claires ayant chacune un gros noyau arrondi fortement coloré ; les membranes cellulaires sont restées minces et très nettes ; les cellules périphériques sont légèrement aplaties en sorte que le contour paraît bien délimité sauf en un point que nous allons dire. Sur toute sa longueur la côte est recouverte par une faible épaisseur de tissu dense qui rappelle ])eaucoup le précartilage de l'arcade neurale. A mesure qu'on approche de la vertèbre on constate un épaissis- sement de la côte et en même temps une incurvation vers le bas. Chose remarquable, la côte n'aborde pas franchement le tubercule. FiG. 5. â Vipera aspis : ébauclie bicipitale de la côte. costal, elle arrive à son voisinage par en haut et si l'on prolonge la courbe que décrit la côte, on voit qu'elle passe devant la facette principale de la pleurapophyse en s'en écartant quelque peu. Los connexions à cet égard sont notablement différentes de ce qu'elles seront plus tard. Mais la particularité la plus intéressante de la côte au stade où nous sommes, c'est que la ligne qui en prolonge la direction et que nous avons imaginée tout à l'heure existe réellement. Le tissu dense qui entoure la côte de toute part ne s'arrête point en même temps que le cartilage, c'est-à -dire au coin supérieur du tubercule costal ; il continue bien au delà sous forme d'un cordon qui passe devant la. Please not
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