. Journal d'agriculture pratique. sur un pl:in r passant par larliculalicm ducoude, à la partie inférieure de lhumérus,ou, si lon préfère, au niveau du sternum. Si lon désigne par 11 la hauteur de lani-mal mesurée au garrot, on voit que les di-mensions / el // doivent être des 4(i aux(S centièmes de II ; nous croyons quil ny aaucun inconvénient à diminuer la hauteur /i,ce qui arrivera dailleurs, pour ainsi direautomatiquement, par suite de lépaisseur dela litière mise sous le bipède antérieur delanimal. La profondeur d de la crèche peutêtre des 20 aux 2i centième de H. CKKCIIKS DE liOUVEltlES


. Journal d'agriculture pratique. sur un pl:in r passant par larliculalicm ducoude, à la partie inférieure de lhumérus,ou, si lon préfère, au niveau du sternum. Si lon désigne par 11 la hauteur de lani-mal mesurée au garrot, on voit que les di-mensions / el // doivent être des 4(i aux(S centièmes de II ; nous croyons quil ny aaucun inconvénient à diminuer la hauteur /i,ce qui arrivera dailleurs, pour ainsi direautomatiquement, par suite de lépaisseur dela litière mise sous le bipède antérieur delanimal. La profondeur d de la crèche peutêtre des 20 aux 2i centième de H. CKKCIIKS DE liOUVEltlES ET DE VACHEKIES Une hauteur h (fig. &i) dépassant les bovins de grandes races, non seule-ment peut détériorer le fanon de lanimal,mais rempêche de saisir les alimenls placésdans langle p ; il est obligé de se mettre decôté, de pencher la tète en se tordant le cou,et, malgré cette manœuvre qui lui occasionnecertainement une gêne, il laisse dans lacrèche une couche daliments de / en r qui. Fig. 6i. Diniousions relatives ili forme un talus incliné ; de plus, ces alimenlsnon consommés constituent une perte; silsne sont pas soigneusement enlevés aprèschaque repas, ils deviennent le siège de fer-mentations et une cause dinsalubrité. 11 y a des régions, comme le Périgord. lerarn-et-Oaronne, etc., oii le bord n fig. (iô)de la crèche A est très élevé au-dessus dusol ./? ; mais la hauteur h, bien quencureexagérée, est réduite par suite de la présencedune marche B iqui a souvent plus de hauteur), sur laquelle les animaux posentle bipède antérieur. Il faut rejeter cette dis-posilion comme inutile, nuisible à la bonneconformation des bovins et, très certaine-ment, défavorable aux animaux en étai degestation. Voici ce quécjivait récemment, au sujetdes marches précédentes, le docteur PaulDurand, de Toulouse (1) : Les animaux ont devant eux ces fameuxmarchepieds que lon voit dans toutes les élablesde Tarn-et-Garonne, o


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