. Études de phonétique espagnole . , E. 2. la, A. 3. (i) h. (2) li, B. 4. /, C. S.(i)/a.(2)//, D. 6. (i)/j.(2)//, F. 7.(i)/a.(2)Zj, E. , G. Fig. 116. La pointe de la langue nest jamais contre les dents denbas, comme en français, mais reste libre dans la bouche 1. Cf. Rousselot-Laclotte, op. cit., p. 58. 2. Quand je distingue pour / ces trois catégories, jeveux parler d/ prononcée avec la vovelle presque neutre autres voyelles modifieraient sa position dans un sensou dans lautre. — 123 — {A, B, F), se recourbe vers le palais (E), ou sappuiecontre les dents supérieures pour form


. Études de phonétique espagnole . , E. 2. la, A. 3. (i) h. (2) li, B. 4. /, C. S.(i)/a.(2)//, D. 6. (i)/j.(2)//, F. 7.(i)/a.(2)Zj, E. , G. Fig. 116. La pointe de la langue nest jamais contre les dents denbas, comme en français, mais reste libre dans la bouche 1. Cf. Rousselot-Laclotte, op. cit., p. 58. 2. Quand je distingue pour / ces trois catégories, jeveux parler d/ prononcée avec la vovelle presque neutre autres voyelles modifieraient sa position dans un sensou dans lautre. — 123 — {A, B, F), se recourbe vers le palais (E), ou sappuiecontre les dents supérieures pour former une vraie dentale(C, D, G). Ce sont des latérales, mais souvent nous nous trouvonsdans limpossibilité de dire si ce sont des unilatérales oudes bilatérales, et dans le premier cas si elles sont articulées. à droite ou à gauche. Il est vrai que la question nest pasdes plus importantes. M. Araujo opte pour des unilatéralesfaites au côté droit . Il se peut quil ne veuille pas géné-raliser et quil parle de son / à lui. En tout cas, larticula-tion de A et F est bilatérale. Il est fort probable que cellede ^ et de £? est unilatérale gauche, celle de D unilatéraledroite. Pour C et G le palais ne permet pas de pré linitiale, / est une fricative sonore et qui ressemble,pour ce qui concerne le souffle, au type de b de beber I. Op. cit., p. 49. — 124 — (%• 3°)? ^iprt^s la prononciation de B, C, E, F. Mais Aet D la prononçaient avec une aspiration considérable avantle commencement des vibrations laryngiennes. Cette aspi-ration, dans le cas de D (fig. 117, las sehas), commencebrusquement avec une poussée dair sourd qui ressemble àune explosive et qui passe à travers larticulation déjà for-


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