. Le chirurgien dentiste, ou, Traité des dents : où l'on enseigne les moyens de les entretenir propres & saines, de les embellir, d'en réparer la perte & de remédier à leurs maladies, à celles des gencives, & aux accidens qui peuvent survenir aux autres parties voisines des dents : avec des observations & dens réflexions sur plusieurs cas singuliers : ouvrage enrichi de quarante-deux planches en taille douce. fortes de pierres , qui croilTent par ad-dition de couches. Les mouvemens de la langue dé-truifent la plus grande partie du tartrequi sattache à la furface intérieure desincilives de la m


. Le chirurgien dentiste, ou, Traité des dents : où l'on enseigne les moyens de les entretenir propres & saines, de les embellir, d'en réparer la perte & de remédier à leurs maladies, à celles des gencives, & aux accidens qui peuvent survenir aux autres parties voisines des dents : avec des observations & dens réflexions sur plusieurs cas singuliers : ouvrage enrichi de quarante-deux planches en taille douce. fortes de pierres , qui croilTent par ad-dition de couches. Les mouvemens de la langue dé-truifent la plus grande partie du tartrequi sattache à la furface intérieure desincilives de la mâchoire fupérieure ;au lieu que les autres dents sen trou-vent prefque toutes recouvertes, fur-tout celles de la mâ_hoire inférieure,ia matière par fon propre poids, syportant toujours , & la langue ne pou-vant la balayer de même : i\ lon tardes. fe la faire ôter, elle sinlinue entreles gencives & les dents , & par foniejour elle gonfle (3c dilate les là vient que par la fuite les dentsétant déchaulfées , elles deviennentchancelantes & cèdent au moindre at-^touchement. Le tartre nell pas la feule maladiequi vient de la négligence quon ap-porte à fe tenir les dents nettes; onpeut encore ajouter quecette négligencecaufe la puanteur de la bouche, puan-teur fâcheufe à celui qui en eft atteint,6c inluppoi table aux autres Cette ma- roj>i. I r y tanche iùi. Dentiste; i8r ladie ne vient pour lordinaire que desportions des alimens qui relient dansles interftices des dents , <5c dans lestrous que forme la carie , & qui sycorrompent, ou parce quon ne mâchepas des deux côtés. Les moyens de remédier prompte-ment à tous ces défordres, font ceux-ci,i. Doblerver un régime de vivretel que celui que nous avons indiquév2°. De faire néroyer fes dents, quandelles en ont befoin. 5°. De les entrertenir de la manière quon a enfeignée ,& enfin dôcer les caufes qui les pro»duifent» Explication des figures contenues dansla planche deuxième.


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