L'illustration : journal universel . oyage à Vienne, dansle seul butde voir Mozart, pourlequel il éprouvait une ar-dente admiration. H avait alors pièce voisine, et dit à quelques amis qui sy trouvaient: —Faites liieu attention à ce jeune homme, il fera parler de luiquelque joui. Beethoven avait autant de talent sur 1 orgue que sur lepiano, et lélecteur jeta les yeux sur lui pour remplacer Neefe. Allemagne. Beethoven se livra aux étudesr un admirable courage, et il est probable vingt à SIjeune h„n,a nnpinvisbientôt avilustreaudil Mozart, invita Bee-inetlie au piano; lene obéit, et s


L'illustration : journal universel . oyage à Vienne, dansle seul butde voir Mozart, pourlequel il éprouvait une ar-dente admiration. H avait alors pièce voisine, et dit à quelques amis qui sy trouvaient: —Faites liieu attention à ce jeune homme, il fera parler de luiquelque joui. Beethoven avait autant de talent sur 1 orgue que sur lepiano, et lélecteur jeta les yeux sur lui pour remplacer Neefe. Allemagne. Beethoven se livra aux étudesr un admirable courage, et il est probable vingt à SIjeune h„n,a nnpinvisbientôt avilustreaudil Mozart, invita Bee-inetlie au piano; lene obéit, et se mit ir; mais il saperçutr ilepii que son il-lurnelécoutaitqua-idifférence allée tée. Limprovisation de Beethovenressemblai! si peu aux impro-visations ordinaires que Mozartne pouvait y croire, et laccu-sait intérieurement de ne lui , faire entendre quun morceau (Suiue de Beethoven 6ngce préparé, et appris par cirur. Beethoven sen douta enfin, et pria Mozart de lui donner un thème. — Soit, dit tout bas lau-. i Bonn, modelée par llaechnel, et fondue par Burgschmilh, de Nuremberg.) leur lui de la Flûte enchanta I ivil lin Slljel (le lilgl naisons les plus compliqué de ce théine, et le travaille et (le verve, que Mo/.all, p mais je vais bien lattraper ; et il • qui pouvait se prêter aux euuihi- is. Beethoven sempara sans hésiter avec tant de facilite, dabondancessi sur la pointe du pied dans une Eu conséquence, il le nomma organiste honoraire en l 191, el deux ans après, il lui donna nue pension, pour qu il allai aVienne achever ses éludes musicales s,,iis la direction deHaydn. (Moïarl était mort.) Mus Haydn allait partir pour Lon-dres ei ne | pie recommander la jeune homme a son .oui Mbrechtsberger, lequel était alors le plus savant contrepom- tisfe quil vles plus an quAlbrechtsberger&il content de ître de tous les procédés de la science, il commença des lors elle série de publications où le génie éclate de tiutesparts, et qui


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