Le livre d'or de l'Institut du Précieux-Sang; histoire abrégée de sa fondation, de ses dévoloppements, de son cinquantenaire, 1861-1911 . ujours da\is ipie « M (laouetle lerait hieu daller dans mi» ipielcontpie suivre la voie sinqile et t(»muunM de lobé,« attendant liumldenunt et simplement leNecnlion iU> de.^.seins de Dieu sur elle -. Alin de mieuN. conslider, par le résultat (pTamenerait un ,lli;rriii»li de» Siriiix ilf la (oiivi Kfilmii, I,.\ lOXDATIlICi: l)K I, IXSTITIT 1)1 lIî; 31 SCIIIclll si cil» tIilit iMI linii ;i|i|i(lr( ;i tllic (.oliillll
Le livre d'or de l'Institut du Précieux-Sang; histoire abrégée de sa fondation, de ses dévoloppements, de son cinquantenaire, 1861-1911 . ujours da\is ipie « M (laouetle lerait hieu daller dans mi» ipielcontpie suivre la voie sinqile et t(»muunM de lobé,« attendant liumldenunt et simplement leNecnlion iU> de.^.seins de Dieu sur elle -. Alin de mieuN. conslider, par le résultat (pTamenerait un ,lli;rriii»li de» Siriiix ilf la (oiivi Kfilmii, I,.\ lOXDATIlICi: l)K I, IXSTITIT 1)1 lIî; 31 SCIIIclll si cil» tIilit iMI linii ;i|i|i(lr( ;i tllic (.oliillllll i;i llli- (|llc|c( »| |(|l|(! n. M rriiicc. ail mois (liKuil siiivaiil, renvoya (,allniiiH-.\iinli< ;iii (•(hivchI(le la Coli,LiiT,L;alion : celle lois, pour y (lciiiaii(icr son ciiliéc an iio\icial. I]||c élail ccfasic. (,e|tcii(laiil. a\aiil de lui laisser conclure celle L-rave (l(iiiarc|ic. Men;Sailli jlernanl. (pii Taiiuail leiidreiiieiil. lui conseilla de ivMiir le \(-iiiialile. IGNACE BOUKGET ÉvOciLie du Montréal ce (luc, (Tailleurs. M Prince lui avail [) — etde verser une fois encore son (?(cur. dans le sien. W Bouri^el euL pilié de celle unie en peiiuel si lerrihlenienl ei»rouvé ravoir soumise à un nouvel examen, il la lit entrer dans son oratoirelà, en présence du Sainl Sacreiiienl. el après avoir prié avec elle, il lui dil « Mon Kiilanl, si jétais TÉvèque de Saint-Hyacinthe, je vous dirais» Allez-vous-on dans une petite cliaumière bien solitaire, et fondez une» communauté dAdoratrices du Précieux-Sani^-. tilles de Marie lunnaculée. » « .le ne saurais exprimer », dira, i)lus tard^ Callierine-Aurélie, « la ?j2 vive i,r: ?:ANf; m: .lÉsrs! > (lilatuUoii (le mon cœur, quand jentendis ces mots : « vne commundidé > ilAdorairices du Précieiu-Sam/, piles de Marie bnmaculée. » En un instant, > je f)assai dune profonde tristesse à une vive allégresse. Tout mon être exultait. Tout chantait
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