. A rapid French course for students in evening classes, private students, and others . s [le modele] de sous-marins [lesous-marin] et daeroplanes (m). Tu as promis [promettre 2]Tautre jour que, la prochaine fois que tu irais (aller) auxmagasins du Louvre, tu my conduirais (conduire). Tu te lerappelles, nest-ce pas? » Henriette. « Laisse-le venir, maman. » Mme Vidal hesite 3 un moment, puis elle y consent [con-sentir4]. Bertrand. « Je te remercie mille fois, maman. » Lidee5 (/) quil va voir tant de jouets [le jouet6] auto-matiques le rend bien heureux, car ce quil aime le plus eesttout ce qui
. A rapid French course for students in evening classes, private students, and others . s [le modele] de sous-marins [lesous-marin] et daeroplanes (m). Tu as promis [promettre 2]Tautre jour que, la prochaine fois que tu irais (aller) auxmagasins du Louvre, tu my conduirais (conduire). Tu te lerappelles, nest-ce pas? » Henriette. « Laisse-le venir, maman. » Mme Vidal hesite 3 un moment, puis elle y consent [con-sentir4]. Bertrand. « Je te remercie mille fois, maman. » Lidee5 (/) quil va voir tant de jouets [le jouet6] auto-matiques le rend bien heureux, car ce quil aime le plus eesttout ce qui a rapport7 a la mecanique8. 40*2 (2) =comme cela. (3) comme appuyer; Pennui (m). (4) lereste: 4—2 reste 2. (5) verbe nommer. (6) =sur le point demourir. (7) =si vous le desirez tant. 40*3 (1) la merveille. (2) la promesse. (3) Phesitation (/).(4) le consentement: consentir, comme sentir: je sens, tu sens,il sent, ns. sentons, etc. ; le sentiment. (5) cf. lideal ().(6) verbe jouer; le jouet =le joujou, plur. les joujoux; le jeu,plur. jeux. (7) se rapporter. (8) la ILS TRAVERSENT LA SEINE 87 Une heure plus tard, M. et Mme Bayard, Mme Vidal, sa filleet son fils sont assis sur Timperiale dun omnibus enVoute pourles magasins du Louvre. Pour se proteger contre les rayonsdu soldi Henriette ouvre son ombrelle (/). Sa mere et sa tanteen font autant. A peine ont-ils* traverse [traverser] la Seinepar le Pont Neuf quun sergent de ville fait arreter leur omnibus. M. Bayard. « Quest-ce quil y a maintenant, Bertrand? » Bertrand. « Cest un cheval qui vient de tomber. On est entrain denlever le harnais. Bon ! Le voila debout. » Mme Vidal. « Tant mieux2! » Lomnibus se remet en mouvement. Bientot il passe devantle Louvre. M. Bayard. «Ursule, il faudra visiter le Louvre commedhabitude. Nous y irons la semaine prochaine. » Le b&timentx dont il parle se trouve a gauche. Autrefoiscetait la residence des rois [le roi] et des reines [la reine] deFrance, mais aujourdhui cest
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