La Lecture . nt dans cette quelles deman-dent, les Femmes, cequelles veulent, cest([ue leur nature re-çoive tout son déve-loppement afin quellepuisse révéler et don-ner au monde tout ceque Dieu a mis en elle,et dont les vieilles so-ciétés nont pas encoresu tirer le moindreparti ». Je lai dit, les r(n(n(lic;i(ioiis dr ce ([iioii appeler laprciiiiérc p(Ti(-i|c du r donhiait lU^s antres conc(>ptions. |{(-lor-ni;iti-nrs et i-i^roi-nialrices (nietliiieni des tli(ories et se dispu-taient,, mais enliv eii\ <t rensend)le du publie intelleeinel. ilny avait eneinc uni icliaiii2
La Lecture . nt dans cette quelles deman-dent, les Femmes, cequelles veulent, cest([ue leur nature re-çoive tout son déve-loppement afin quellepuisse révéler et don-ner au monde tout ceque Dieu a mis en elle,et dont les vieilles so-ciétés nont pas encoresu tirer le moindreparti ». Je lai dit, les r(n(n(lic;i(ioiis dr ce ([iioii appeler laprciiiiérc p(Ti(-i|c du r donhiait lU^s antres conc(>ptions. |{(-lor-ni;iti-nrs et i-i^roi-nialrices (nietliiieni des tli(ories et se dispu-taient,, mais enliv eii\ <t rensend)le du publie intelleeinel. ilny avait eneinc uni icliaiii2c diih-es. La (piestiou nt-lait pasmure. Aux prmcipes r(-lonu;iteiiis, :u\\ plans de soeiéltS nouvelleses(pMSv(s , \- Fnfmtin , lieire Leroux,Cahet, iMiuiier, — aiilanl ilr i,.ns nouvelles I. — ;l ,y _ Wy. i-!:.\iii::;i i;.\ Assez vl Irop loiifjlenips les hommes nous ont forcées à m; lien Ça devieiil fatigaiH. » (Caiicutuie do É. dk Beaumont. 306 LA LECTURE ILLUSTREE dans lesquelles la femme devait tenir sa place — répondit seulela caricature. Ce fut limage qui, par le rire et par la satire, secliarcea de battre en brèche, de démolir, de tuer par le ridicule— arme alors encore puissante — ceux qui rêvaient dune huma-nité nouvelle idéale, ceux qui croyaient à la possibilité dun chan-gement, dun bouleversement radical dans la société. Demblée, avec un accord parfait, les crayons entrèrent enlutte, Chani apportant la note comique, désopilante, Daumier seconfinant dans la satire mordante, tuant les femmes émancipées par le laid et lhon-ible, les, „_ •.._.^^-^ > transformant, pour tout dire, en mégères, de Beau-mont sattachant au côtépurement féminin et quel-que peu grivois, voyant,comme Gavarni, dans lalorette, lidéal de la f
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