. Histoire de l'art du Japon; . pétales de lotus et lesbijoux sont cernés de vert; les pétalesde lotus et les flammes sont est dune extrême beaulé. On remarque que les bijoux, lis[iiHalcs et les flammes sont tissés de iilstrès fins, et leurs couleurs, qui semblentse dégrader, constituent un tour de Forcede tissage. Ce Wauhi (fig. 43 bis) provient ilaîiième (irince. Se détachant sur le fond,(i(-s motifs démaux représentent less|ilirrrs de la loi et des A-wii; simples. LesI ntili-iirs sont jaunes, rouges, bleues,inirs, jaune-orange, violettes, rost-s et sieurs morceaux dun petit
. Histoire de l'art du Japon; . pétales de lotus et lesbijoux sont cernés de vert; les pétalesde lotus et les flammes sont est dune extrême beaulé. On remarque que les bijoux, lis[iiHalcs et les flammes sont tissés de iilstrès fins, et leurs couleurs, qui semblentse dégrader, constituent un tour de Forcede tissage. Ce Wauhi (fig. 43 bis) provient ilaîiième (irince. Se détachant sur le fond,(i(-s motifs démaux représentent less|ilirrrs de la loi et des A-wii; simples. LesI ntili-iirs sont jaunes, rouges, bleues,inirs, jaune-orange, violettes, rost-s et sieurs morceaux dun petit sac à anni-lettes en brocart. AuKauyaçau se troii-vieré jjour lAbliisi-ka et du brocart tendu sur un Tengaï. Au Tô jî de Kyauto,lie petits morceaux dAya nishiki. A Oasaka, du brocart; à Itsoukou-shima, iluavoir servi de langes à .tokou P. Toutes ces étoffes, également de lépoqueont lâches, mais dun dessin toujours élégant. Hiitoire de lArt du Japon DJIZAU-BOSATSOU .Ksitcgaribha XI 11- sicclc iMusti. TROISIÈME PARTIELE BAKOUFOU DE KAMAIvOURA :HAPriHE PKEMIER Conditions de la société de ce temps par rapport aux Beaux-Arts. Les Tahira iHaient militaires. A lécole des Foujiwara, ils apprirent lorgueil. Leur arroganceétait au comble, ipianJ leur rêve de splendeur, qui durait depuis vingt ans, fut soudain brisé parlarrivée des Minamoto, et toute leur famille fut effacée comme un rocher que recouvre la mer. Minamoto no Yori tomo prit alors le pouvoir et ouvrit les portes du Bakoufou à Kama-koura, qui, étant le cœur môme du gouvernement, le laisse tomber aux mains des simples et mâlesmilitaires. La situation de lempire se moditia dès lors. Les mœurs molles et délicates de la capitalefurent abandonnées peu h peu et cédèrent le pas à celles, sévères et rudes, des militaires. DepuisII costume, la nourriture et lhabitation jusquà la littérature et aux Beaux-Arts, tout subit deschangements plus ou moins profonds. Entre létat de Kyauto et
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