. L'art religieux du XIIIe siècle en France : étude sur l'iconographie du moyen age et sur ses sources d'inspiration . II, col August, Cité de Dieu, XVIII, 2 i lut rat., t. XLI, col. >:m LE MIROIR I1ISTORIQ1 i: I. Il I SIi 11 i; i; lROlANE l93 Il non-; reste à démontrer que la sibylle dAuxerre el celle de Laon repré-sentenl bien vraiment lasibylle brée. luni celledAuxerre, il ne peill vavoir que des présomp-tions. Sun nom est inscritprès delle, et on lit a Si-bylla ». Labsence dad-jectif, toutefois, semblei ndiquer (pie larl iste ;ipensé à la sibylle parexcellence, à celle d
. L'art religieux du XIIIe siècle en France : étude sur l'iconographie du moyen age et sur ses sources d'inspiration . II, col August, Cité de Dieu, XVIII, 2 i lut rat., t. XLI, col. >:m LE MIROIR I1ISTORIQ1 i: I. Il I SIi 11 i; i; lROlANE l93 Il non-; reste à démontrer que la sibylle dAuxerre el celle de Laon repré-sentenl bien vraiment lasibylle brée. luni celledAuxerre, il ne peill vavoir que des présomp-tions. Sun nom est inscritprès delle, et on lit a Si-bylla ». Labsence dad-jectif, toutefois, semblei ndiquer (pie larl iste ;ipensé à la sibylle parexcellence, à celle du Diesir;r. Ce ([ni donne à nuireliypotbèse une grande vrai-semblance, cest, quon voilprès de la sibylle nue tètede n>i couronné, i|ni paraitbien être le roi David. Lesculpteur aurait de la sorteessayé de traduire un \ ersdu Dies inv. Mais à Laon, nous attei-gnons à la certitude. Lastatue de Laon, qui se voitdans une voussure du por-tail de gauche de la façadefig. i h | . navait jamaisencore été désignée sonsson vrai nom . LabbéBouxin, dans sa descriptionde la cathédrale de Laon, lan. I i I >,|. Sil.\ lll \a\ lluve i pelle o la Loi divine ». Il lit mal linscription quil 1 ligure di la sibylle esl sculptée à liiil la cathédrale, au | rlour Hu rlueiir. suivant un usage propre ù larl I gu ign< m. - Elle .i été moulée el se Irouve .m Trocadéro u 120 La lèle .1 disparu Elle lienl ;i la mai»tablettes qui ressemblonl aux tables de la li. 1 Abbé I!. .11X111. / .: I (itlli I . ,1. I IDII . |). - . ;,M LART RELIGIEUX DU XIII SI ÈCLE restitue sous cette forme o aeterna per saecla (Htma o, et qu il traduit o elle laloi divine demeurera pendant les siècles éternels ». La vérité est qu il fautlire : « [advenijet per saecla futurus ». Cest la lin du second vers du poèmeacrostiche que saint Augustin attribue à la sibylle Erythrée. Le morceau com-mence ainsi : Judicii signum : tellus sudore madescet,E cœlo rex adveniet per
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