. Bulletin de la Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie. Geology; Paleontology. 98 E. VAN DEN BROECK. â MATÃRIAUX POUR LA FlG. 4. â COUPE DE LA PARTIE SUPÃRIEURE DU TALUS INTERNE, AU POINT C. L'examen de l'argile des polders, qui re:ouvre les autres dépôts modernes, montre : A. Une couche de om,40 d'argile des polders brunâtre, avec coquilles fluviatiles. B. Un lit coquillier mince formé d'une agglomération de coquilles d'eau saumâtre : Hydrobia ulvÅ et Cardhim edule (forme naine). C. Une couche de om,6o d'argile des polders, sableuse, compacte, contenant une qua
. Bulletin de la Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie. Geology; Paleontology. 98 E. VAN DEN BROECK. â MATÃRIAUX POUR LA FlG. 4. â COUPE DE LA PARTIE SUPÃRIEURE DU TALUS INTERNE, AU POINT C. L'examen de l'argile des polders, qui re:ouvre les autres dépôts modernes, montre : A. Une couche de om,40 d'argile des polders brunâtre, avec coquilles fluviatiles. B. Un lit coquillier mince formé d'une agglomération de coquilles d'eau saumâtre : Hydrobia ulvÅ et Cardhim edule (forme naine). C. Une couche de om,6o d'argile des polders, sableuse, compacte, contenant une quantité de coquilles terrestres et fluviatiles et montrant à sa base,légèrement ondulée, des traces végétales, in situ, semblant devoir se rapporter à des joncs. D. Un lit mince tourbeux ravinant légèrement le dépôt sous-jacent. E. Terreau sableux foncé, passant, vers la b^ise, à du sable quartzeux blanc (1) om,20. De ces données,il résulte que la partie supérieure des dépôts moder- nes ne diffère en rien ici de ce qui a été observé plus au sud, au Kattendijk. Ce n'était pas seulement à l'emplacement des futurs murs de quai que l'on pouvait observer les coupes du terrain pendant la construc- tion des bassins. Les tranchées, qui formaient le tour de l'emplacement de ceux-ci, avaient une largeur considérable et leur paroi interne englobait un massif central, représenté par des traits pointillés à l'intérieur des bas- sins représentés dans le plan de la page 91, et que des dragues devaient enlever plus tard, après l'introduction de l'eau dans les enceintes maçonnées. ( 1 ) La figure 4 donne un développement trop considérable à la zone E, dont la ligne de base, représentée par un trait noir trop rectiligne, doit être remontée de manière à atteindre les sinuosités inférieures du lit tourbeux. Dessous se développent les sédimen
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