Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . ueur réprimoit la diar-rhée ; doù lon peut conclure que les fudorifi^qucs y Vexercice ^\qs voj2i^QS ^ lesfriciionSylesbains chauds, lufage de la flanelle, & (onttrès-utiles; &; lexpérience montre tous les joursila juftefTe de cette conféquence : on fçait çn?i ^^ Dt? s AS - VÃNTRE,Zw6/. 515 â¢icore que lufage du mariage a fouvent produit ^^^le même eiFet ; mais un régime bien entendu doit Rhe*£,être re
Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . ueur réprimoit la diar-rhée ; doù lon peut conclure que les fudorifi^qucs y Vexercice ^\qs voj2i^QS ^ lesfriciionSylesbains chauds, lufage de la flanelle, & (onttrès-utiles; &; lexpérience montre tous les joursila juftefTe de cette conféquence : on fçait çn?i ^^ Dt? s AS - VÃNTRE,Zw6/. 515 â¢icore que lufage du mariage a fouvent produit ^^^le même eiFet ; mais un régime bien entendu doit Rhe*£,être regardé comme le point le plus effentiel :il confifle principalement en labftinence de laviande , de la falade, des fruits cruds , &c. Ilfaut convenir enfin quon rencontre des coursde ventre de lune ou lautre efpece, qui font re-belles à tous les remèdes, & que la plupart desmalades, ennuyés dun traitement dont ils nevoient pas la fin, sabandonnent à la naturequi a toujours plus de relTource que la méde-cine, ou fe jettent entre les mains des charla-tans , qui, en poiTefîion du droit de tout rif-quer, font voir que la témérité peut être 5^4 Maladies inte:rni:* FLUX SANGLANT. L y en a, aînfî que du précédent, de îroîs:efp^ces ; k dyffentériqm , Vhépatique & leméfentériqus y fans compter lefiux hémorrhoidal,<^uï, fe rencontrant quelquefois avec le cours,de ventre, peut en impofer. La dyffenttrk efltantôt aiguë , tantôt chronique : lune 6c lau-tre font fouvent épidémiques, & régnent à la£n de lété, ou dans lautomne , jufquà Phiverqui les fait difparoître. La fièvre précédée patles friffons ^ ÃC accompagnée de la foif ; les tran^chées, Se la chaleur des entrailles ; les déjec^tions glaireufes & graiffeufes ^ jaunes, porra^cées & fanglantes; les épreintes, &c. font lesfîgnes qui la diflinguent aiTez des iliix h
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