. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. Fier. 1540. Fis. loi!. Fig. 1540. — a, périlhèccs jaunes d'Ascobole (Ascomycète), face et pi'oiil (grand, nat.) ; b. filaments sporangiféres de Pilobole (Mucorinée) ; c, am- poule du tube ; d, calotte cutinisée nuire du sporange (un peu grossi). Fig. 1541. — 1, c. filament sporangifère de Pilobole (Pilobolus roridus); b, renfiement qui le termine ; a, calotte noire, bérissée d'aiguilles d"ox
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. Fier. 1540. Fis. loi!. Fig. 1540. — a, périlhèccs jaunes d'Ascobole (Ascomycète), face et pi'oiil (grand, nat.) ; b. filaments sporangiféres de Pilobole (Mucorinée) ; c, am- poule du tube ; d, calotte cutinisée nuire du sporange (un peu grossi). Fig. 1541. — 1, c. filament sporangifère de Pilobole (Pilobolus roridus); b, renfiement qui le termine ; a, calotte noire, bérissée d'aiguilles d"oxalate de calcium et couvrant les spores (gr. : 8). — II, grossi ; a, calotte du sporange; d, spores; /, mucilage, provenant de la gélification de la zone annulaire inférieure du sporange. L'ampoule (/>), par absorption d'eau, provoque la projection du sporange ; au baut de b, la columclle noirâtre (Van Tiegbem). membrane du sporange, qui, à cet effet, éprouve pendant la maturation une gélitîcation totale (fig. io44, II). Dans le genre Pilobole (tig. 1540, b), qui fructifie facile- ment sur le fumier, en même temps que TAscobole (Ascomy- cète), le sporange, couvert d'une cuticule noire (fig. 1541, «), gélifie seulement sa zone annulaire inférieure (II,/); il est précédé d'une large dilatation du tube [b). A la maturité, la pression de turgescence de l'ampoule provocjue la projection brusque des sporanges [cl). Ciillure. — Dans le Mucor à grappe (fig. 1536, I), l'appareil sporifère, au lieu de rester simple, se ramiiie, et chaque ramuscule sporangifère s'isole du pédicelle principal par une cloison basilaire. On remarque que le nombre des rameaux est d'autant moindre que la concentration de la solution nutritive est plus grande. Ainsi, dans une solution de glucose à 40 ou 50 p. 100, ou sur des pruneaux peu cuits, il ne se forme que peu ou pas du tout de sporanges ; la fructification est au contraire abondante sur des pruneaux pré
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