. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. â Ifîî) - - annoncés par M. Dumontpallier. Colui-ci so tient les yeux à un mètre environ de Ja jambo do la malade, sans toucher le lit, les autres observateurs étant au fond de l'appartement, comme dans l'expérience précédente. Pendant que M. Dumontpallier regarde le pied sans la vitre, la contracture apparaît, puis disparaît. M. Dumontpallier reconnnence en interposant la vitre qu'il tient des deux mains, et les inènios pliéitouiéncs so produisent. Sur un signe qui lui est fait, M. Dumontpallie
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. â Ifîî) - - annoncés par M. Dumontpallier. Colui-ci so tient les yeux à un mètre environ de Ja jambo do la malade, sans toucher le lit, les autres observateurs étant au fond de l'appartement, comme dans l'expérience précédente. Pendant que M. Dumontpallier regarde le pied sans la vitre, la contracture apparaît, puis disparaît. M. Dumontpallier reconnnence en interposant la vitre qu'il tient des deux mains, et les inènios pliéitouiéncs so produisent. Sur un signe qui lui est fait, M. Dumontpallier, jiiaintenant toujours la glace de la même faron, poi-te les regards en l'air. On voit alors so produire de nouvelles oscil- lations de contraction et de'relâchement dans le pied gauche, en même temps que quelques oscillatious dans le pied droit. MM. Dumontpallier et Magnin font remarquer que la lumière tombant de la fenêtre sur la vitre pouvait porter sur la jambe et avoir eu ime action. Les expériences étant arrivées à ce point, MM. Javal et Pouchet ont jugé inutile de tenter de nouvelles expériences avec les yeux artificiels qu'ils avaient apportés. l'ait en double et signé : G. POUCIIET. AîA. DUMONTPALMBR. E. Javal. P. Magnin. Note sur une explication plausible des piià observés SUR LA MALADE DE M. DUMONTPALLIER, l)ar M. G. PoUCHET. Nous n'avons i)as besoin de dire que Texamen auquel il nous a été donné de nous livrer sur une malade de M. Dumontpal- lier, la nomniéo, , n'a fait que nous confirmer dans l'é- nergique négation que nous avons opposée dés le premier jour à une inrtuenco quol<-onque du regard n^'rçanC à l'inau de la malade. On doit, croyons-nous, expliqu<ir connue il suit les phé- nomènes dont nous avons été ti'nioins. On n'a point dit, on n'a jusqu'ici aucune raison de penser que dans l'état observé la transmission
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