Oeuvres complètes de Mde Balzac . ce publique, et qui, vous le devinez, navais plus , je nai plus que des douleurs. Eh ! bien, monsieur, lattentionque vous avez eue de fermer la porte du chenil où mon petit-filset moi nous couchons, cette petite chose a été pour moi le verredeau dont parle Bossuet^... Oui, jai retrouvé dans mon cœ ce cœur épuisé, qui ne fournit plus de larmes, comme moncorps ne fournit plus de sueur, jai retrouvé la dernière goutte decet élixir qui, dans la jeunesse, nous fait voir en beau toutes lesactions humaines, et je venais vous tendre cette main


Oeuvres complètes de Mde Balzac . ce publique, et qui, vous le devinez, navais plus , je nai plus que des douleurs. Eh ! bien, monsieur, lattentionque vous avez eue de fermer la porte du chenil où mon petit-filset moi nous couchons, cette petite chose a été pour moi le verredeau dont parle Bossuet^... Oui, jai retrouvé dans mon cœ ce cœur épuisé, qui ne fournit plus de larmes, comme moncorps ne fournit plus de sueur, jai retrouvé la dernière goutte decet élixir qui, dans la jeunesse, nous fait voir en beau toutes lesactions humaines, et je venais vous tendre cette main, que je netends quà ma fille ; je venais vous apporter cette rose céleste dela croyance au — Monsieur Bernard, dit Godefroid en se souvenant des leçonsdu bonhomme Alain, je nai rien fait dans le but de me voirlobjet de votre Vous vous trompez en — Ah ! voilà de la franchise ! reprit lancien magistrat. Eh bien !cela me plaît. Jallais vous réprimer^... pardon ! je vous lA-L^^- IMl. L. MVUlINtl IN MKUK \\LTI11E;. UMION UOLll-Ai:. •le voiihûs seulement vous ilire de vous méfier de ce jeune hoiimi-. ||, IMTIK.; lenvers de lhistoire contemporaine. 329 Ainsi, vous êtes libraire et vous êtes venu pour enlever monouvrage à la compagnie Barbet, Métivier et Tout estexpliqué. Vous me faites des avances comme ils men ont fait ;seulement vous y mettez de la grâce. — Cest la Vauthier qui vient de vous dire que je suis uncommis libraire ? demanda Godefroid au vieillard. — Oui, répondit-il. — Eh ! bien, monsieur Bernard, pour savoir ce que je puisvous donner au-dessus de ce que vous offrent ces messieurs, ilfaudrait me dire les conditions que vous avez faites avec eux. — Cest juste, reprit lancien magistrat, qui parut heureux dese voir lobjet de cette concurrence à laquelle il ne pouvait quegagner. Savez-vous quel est louvrage ? — Non, je sais seulement quil y a une bonne affaire. — Il nest q


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