. Bulletin de la Société botanique de Genève. de croissance ; pasune des feuilles ne sest dégagée des coléoptiles. Quant aux trois autres catégories de plantules (Dt. 1/iXl0x71/2X 5), leur croissance a été rapide, partout la même; nous avonsconstaté quaprès dix jours pas une des feuilles (pourtant dégagéesdepuis longtemps) ne sétait déroulée; probablement est-ce un modede protection de la plante contre le danger de la dessication. 18 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (9) Ces trois catégories de plantes ayant donné les mêmes résultats, nousne décrirons que ceux obtenus sur Dt. x/i x 5,
. Bulletin de la Société botanique de Genève. de croissance ; pasune des feuilles ne sest dégagée des coléoptiles. Quant aux trois autres catégories de plantules (Dt. 1/iXl0x71/2X 5), leur croissance a été rapide, partout la même; nous avonsconstaté quaprès dix jours pas une des feuilles (pourtant dégagéesdepuis longtemps) ne sétait déroulée; probablement est-ce un modede protection de la plante contre le danger de la dessication. 18 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (9) Ces trois catégories de plantes ayant donné les mêmes résultats, nousne décrirons que ceux obtenus sur Dt. x/i x 5, représentés par lesfigures 11, a, b, c. Nous retrouvons également ici les mêmes caractèresque ceux cités déjà : les épaississements des périclines externes (bienque moins forts), les proliférations des cellules annexes, la réductiondes chambres sous-stomatiques qui est parfois complète (flg. 11 c);dans ce cas, la cellule sous-jacente elle-même contribue, par proliféra-tion, à cette occlusion de la Fig. 11 a, b, c. — Mêmes conditions après dix jours; locclusion dela chambre sous-stomatique par la sécrétion de matières grais-seuses et prolifération de toutes les cellules avoisinantes, estparfois complète (fig. 11 c). Si lon compare ces figures 11 a, b, c avec la figure 6, on est frappépar la grande ressemblance de forme des cellules de bordure; parcontre, les bouchons ne sont pas les mêmes; ici, lon retrouve laprésence de ces substances graisseuses que nous avions rencontréesprécédemment (fig. 5 a et b et 7 a et b) ; cette substance sétend mêmetrès fortement au-dessus de tout lépiderme, saccumulant au fond dechaque dénivellation. (10) L. REHFOUS. SUR LA STRUCTURE DU STOMATE DU ZEA MAYS 119 Il faut noter que, dans ce cas, la couche de cutine est beaucoupmoins forte; la matière graisseuse la remplace en quelque sorte, il estprobable quelles apparaissent presque simultanément. Mais ce quil ya surtout dintéressan
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