. Congrès national du Tiers-ordre franciscain à Montréal à l'occasion du 7e centenaire de la fondation du Tiers-ordre. leurs colonnes à ce travail, qui parut de janvier1916 à septembre 1920 inclusivement. Voilà lapostolat par la presse. Et partant, les Tertiaires, piliersde toutes les œuvres paroissiales, le sont des œuvres concernant — 247 — ?Jésus-Hostie. Vous vous souvenez du bouquet spirituel que lesTertiaires de Montréal offrirent lors du Congrès de 1910 :272,000 communions sacramentelles634,210 spirituelles 238,130 heures dadoration1,311,620 messes jour-là, saint François a
. Congrès national du Tiers-ordre franciscain à Montréal à l'occasion du 7e centenaire de la fondation du Tiers-ordre. leurs colonnes à ce travail, qui parut de janvier1916 à septembre 1920 inclusivement. Voilà lapostolat par la presse. Et partant, les Tertiaires, piliersde toutes les œuvres paroissiales, le sont des œuvres concernant — 247 — ?Jésus-Hostie. Vous vous souvenez du bouquet spirituel que lesTertiaires de Montréal offrirent lors du Congrès de 1910 :272,000 communions sacramentelles634,210 spirituelles 238,130 heures dadoration1,311,620 messes jour-là, saint François a tressailli dallégresse ! En conséquence, je formule les deux vœux suivants : I — Que la fête de saint Pascal soit célébrée et son cuUe ré .— Qur partout où les distances le permettent, avec lappro-bation du Curé, en chaqice mois ou chaque semaine, chaque fra-ternité organise lheure ou la demi-heure dadoration pour chaqueTertiaire. Les prêtres nont pas de meilleur moyen pour onbifierla paroisse, accroître la ferveur, et attirer les plus expresses béné-dictions du ciel. s. Chapelle des Franciscaines Missionnaires de Marie — 248 — LE REFUGE DOM BOSCO ET LE TIERS-ORDRE Rapport présenté par M. labbé Philippon,tertiaire. 11 y a de cela, près de trois ans. Je logeais au presbytère deSaint-Roch à Québec, jeune prêtre à qui mon évêque avait con-fié la charge de faire la classe aux petits enfants qui chantentà la Basihque pendant la messe des Chanoines. Chaque soir,quittant lAcadémie Mallet, où je venais de finir ma classe, jedescendais par le tramway jusquaux coins de la rue Saint-Josephet de la Couronne. Chaque soir aussi en quittant le tramwayjentendais les cris étourdissants des petits vendeurs de journauxqui se tiennent là, plus nombreux quailleurs, mais ny avaisjamais porté une grande attention. I. — Un petit miséreux. Or, un soir de novembre très froid, où contre le vent qui ba-layait avec violence la rue Sain
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