L'illustration : journal universel . la lire-iagne en 1800; cest aussidans cette retraite quilouvrit ce grand cycle decompositions interrompuespar la mort, puisque lespremières scènes de la Vieprivée parurent à la mêmeépoque. Dans les cinq ouSIX années subséquentes, J. Balzac livra à la publicité II ses plus éclatantes inven-tions, depuis la Peau dechagrin ( 1831 ) jusquauLys dans la vallée (),en par les Contesphitosophiijues, la Keelier-che de Vabyolu, VHistoireintellectuelle de Louis Lam-bert, Eugénie Grandet, teMédecin de campagne etle Père Goriot. Il eût pumourir alors, à t
L'illustration : journal universel . la lire-iagne en 1800; cest aussidans cette retraite quilouvrit ce grand cycle decompositions interrompuespar la mort, puisque lespremières scènes de la Vieprivée parurent à la mêmeépoque. Dans les cinq ouSIX années subséquentes, J. Balzac livra à la publicité II ses plus éclatantes inven-tions, depuis la Peau dechagrin ( 1831 ) jusquauLys dans la vallée (),en par les Contesphitosophiijues, la Keelier-che de Vabyolu, VHistoireintellectuelle de Louis Lam-bert, Eugénie Grandet, teMédecin de campagne etle Père Goriot. Il eût pumourir alors, à trente-septans, conmic Raphaël etMozart (toutes proportionsgardées), après avoir suf-fisamment écrit pour lil-lustration de son nom. Audelà, ce magnifique talentsemble faiblir, les œuvreslencombrent. lesprit desystème le désorganise,linspiration est inégale, (ruc(pur,comme il sin-titulait, nuit décidément aupoète ; son cerveau fléchit. milieu des fantasmagories de son génie et de ses procédé — Lne Fillt J/irc — La coinlcssc (Jo Vanclcncsse. 134 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. Tâche ioiinlcsquo, «nlrepriae énorme, elle a réussi autantquelle pouvait réussir, et Ion compreml que le monument,eùt-il la dernière iinin, ne devait pas être achevé.Balzac rello ma-iil(ique unie en peine, poursuivait sansdoute une chimi»re. Monlesiuieu, «lans une phrase connue,montre CharUmi|;ne parcourant sans cesse xm vaste empireet portant la main partout où il allait tomber. Sauf I em-phase de la comparaison, (est un peu Ihistoire de I infali-Uable romancier. A ( ha^iue instant il apportait une pierrenouvelle a lédilice fantastique; scènes de la vie parisienne,militaire, politi(|ue, de province et de campagne, or et dia-mant, marbre et plaire, jusquau dernier moment il y amis un peu de tout, et même des ruines. Dans ses grandsrêves (larli-te, il lui prétait des proportions qui eussentébloui lavenir, pendant (|ue les contemporains
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