Nouvelle traduction de Roland l'amoureux, de Matheo Maria Boyardo . ¨rent pleins de reiïencimentcmcre lennemi c]ui les infulcoir. Ils senpromeccoienc une prompte le camp étoic en rumeur. Dix Roisfuvis de leurs Binnieres marclioienc à lat :Z2, mais quand ils virent quaucune trou-pe de Chevaliers naccompagnoit celuiqii les bravoit tous, ils eurent honte desêtre mis en mouvement pour un feul jJi:)mme. Le v allant Saricron le prélenca pour venger fa nation ; mais quoique ce :Koi des Keraïtes paffa pour le meilleur â â Jouteur de lOrient, la lance fatale lui fiemefurer la terre.


Nouvelle traduction de Roland l'amoureux, de Matheo Maria Boyardo . ¨rent pleins de reiïencimentcmcre lennemi c]ui les infulcoir. Ils senpromeccoienc une prompte le camp étoic en rumeur. Dix Roisfuvis de leurs Binnieres marclioienc à lat :Z2, mais quand ils virent quaucune trou-pe de Chevaliers naccompagnoit celuiqii les bravoit tous, ils eurent honte desêtre mis en mouvement pour un feul jJi:)mme. Le v allant Saricron le prélenca pour venger fa nation ; mais quoique ce :Koi des Keraïtes paffa pour le meilleur â â Jouteur de lOrient, la lance fatale lui fiemefurer la terre. Le monftrueux Argante imonté fur la plus énorme Jument queuf-^ent produit les montagnes de Niron Ca-yat où il regnoit, savança auiïi-tôt. Quoi- ^quil eut cinq pieds de largeur entre lesépaules, il alla te:iir compagnie au RoiKeiaïte , fiifuit en tombant le même ibruit que feroit une roche dont on auroii 1fappé le fondement. Le fort Uldan Roi deKaracorom , eut le même (brt. Ce prélude iétcnna ii fort lez auti es Rois, quils femi- ] rnr-n- 2-3 -*â¢. LAMOUREUX. Liv. II. 135 rent à crier fur le Paladin , & quatre den-treux partirent tous enlemble pour ailerJaccabler. Néanmoins à laide de Bayard,il réfifta a leur rencontre, & renverfa leRoi Mugaî qu il avoit en tête: mais Bron-tin qui venoit après les autres, 1 ayant prisau dépourvu , labbatit lui-même. Le Géant Radamanthe arriva commeAftolphe venoit de fe relever, en décla-mant contre le Roi de Courlas, qui ne luiavoit pas lalifé le de saffermir con-tre Ton atteinte ! Radamanthe fe jettafurle Paladin, le prit entre Tes bras nerveux,le mit en travers fur le col de Ton cheval,Se lemporta* fous fa tente comme un en-fant. LEmpereur Agrican étant furvenuen cet endroit, apperçut le cheval Bayard,dont perfonne ne sétoit encore faifi. Il futcharmé de fa beauté, & defcendit du fieiipour le monter j ce bon Courfier czoit de-venu plus


Size: 1201px × 2080px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1700, bookdecade1740, booksubjectitalianpoetry, bookye