. Aliments, chitine et tube digestif chez les coléoptères. Beetles; Insects. DU TUBE DIGESTIF 183 larges que chez le Carabe. Leur hauteur est de SCjjl chez le Dytique, de 28 |j. chez VAcilius. Chez le Dytique elles présen- tent dans toute leur masse une structure fibrillaire, et on n'aperçoit pas leurs limites latérales ; les noyaux peu nombreux permettent de discerner grossièrement l'individualité des cellu- les ; d'ailleurs leur partie supérieure est lég'èrement bombée, et à chacune d'entre elles correspond une légère voussure de la chitine. On n'aperçoit point chez le Dytique d


. Aliments, chitine et tube digestif chez les coléoptères. Beetles; Insects. DU TUBE DIGESTIF 183 larges que chez le Carabe. Leur hauteur est de SCjjl chez le Dytique, de 28 |j. chez VAcilius. Chez le Dytique elles présen- tent dans toute leur masse une structure fibrillaire, et on n'aperçoit pas leurs limites latérales ; les noyaux peu nombreux permettent de discerner grossièrement l'individualité des cellu- les ; d'ailleurs leur partie supérieure est lég'èrement bombée, et à chacune d'entre elles correspond une légère voussure de la chitine. On n'aperçoit point chez le Dytique de zone fil)rillaire spé- ciale sous-cuticulaire, mais elle apparaît nettement par endroits chez YAcilius^ où elle mesure environ 3 a. Chez ce dernier insecte, les larges cellules éjjithéliales sont beaucoup moins lîbrillaires dans leur structure générale, et il est permis d'en conclure que chez le Dytique c'est la différenciation fibrillaire générale du corps cellulaire qui remplace la différenciation locale sous-cuticulaire. Quelques éléments conjonctifs s'aperçoivent à la base des replis épithéliaux. La couche des libres annulaires est mince, constituée par une ou deux fibres. Il existe six faisceaux longi- tudinaux de fibres musculaires, correspondant aux six replis de répithélium. Chez les Staphylinides [Oci/piis o/ens), l'intestin g-rêle forme une douzaine de replis peu saillants ; il présente des caractères histologiques qui le rapprochent plus de celui des Carabidcs que de celui des Dytiscides (fig. 36). L'intima est d'une extrême minceur (1,5 [j) et, aux plus forts grossissements, son bord libre apparaît très finement denticulé. Les cellules épithéliales sont très allongées (15 [j), sans être très grêles, avec un corps très granuleux, renfer- .-cfi. mant un assez gros noyau arrondi ou ova- laire. Leur bord supé- rieur est constitué par des fibrilles fortes, rela- tivement hautes (12(ji), formant une bordure sous-cutic


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