. Essai historique, philosophique et pittoresque sur les danses des morts suivi d'une lettre de M. C. Leber et d'une note de M. Depping sur le méme sujet. duisons dans notre planche VI hu ^, setrouve gravé daprès lexcellent dessinateur , mais létrangeté de cette scène a donnéquelque défiance à lauteur du texte sur lauthen-ticité de ce petit monument. « Il est difficile, écrit en effet M. Mongez, de» dire quelque chose de raisonnable sur cette bi-» zarrerie. Peut-être même la gravure nest-elle» pas antique; car les anciens nont presquew jamais représenté des squelettes, ni des têtes»
. Essai historique, philosophique et pittoresque sur les danses des morts suivi d'une lettre de M. C. Leber et d'une note de M. Depping sur le méme sujet. duisons dans notre planche VI hu ^, setrouve gravé daprès lexcellent dessinateur , mais létrangeté de cette scène a donnéquelque défiance à lauteur du texte sur lauthen-ticité de ce petit monument. « Il est difficile, écrit en effet M. Mongez, de» dire quelque chose de raisonnable sur cette bi-» zarrerie. Peut-être même la gravure nest-elle» pas antique; car les anciens nont presquew jamais représenté des squelettes, ni des têtes» décharnées. Ce nétait point sous des emblê-M mes hideux quils représentaient la mort elle-« même, etc. » Cétait en 1804 que M. Mongezsexprimait ainsi, (iinq ans après, une décou-verte singulière, dont nous allons parler, offrait,dans un monument dune antiquité incontes-table , un nouveau témoignage des dérogations page XIV de lintroduction, une note dans laquelle sont indiquésplusieurs auteurs, citant des monuments anticjues où se voient dessquelettes dansant. Par erreur, cotte planche porte le chiffre VII
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