. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 878 AUDITION. mètres de déplacement de la cloison. D'autre part, dans mes éludes sur les mouve- ments lympaniques au moyen de la méthode graphique, les tracés montrent que le mouvement de la déglutition retentit sur la cloison et la déprime très légèrement, voussure suivie de retour immédiat. Le crochet inscrit est plus fort, si l'on pince le nez; c'est un brusque, mais très léger, abaissement de niveau, avec retour instantané à la nor- male, qui l'indique. L'épreuve de Valsalva et surtout l'insultlation avec la poire de PoLiTZER provoq
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 878 AUDITION. mètres de déplacement de la cloison. D'autre part, dans mes éludes sur les mouve- ments lympaniques au moyen de la méthode graphique, les tracés montrent que le mouvement de la déglutition retentit sur la cloison et la déprime très légèrement, voussure suivie de retour immédiat. Le crochet inscrit est plus fort, si l'on pince le nez; c'est un brusque, mais très léger, abaissement de niveau, avec retour instantané à la nor- male, qui l'indique. L'épreuve de Valsalva et surtout l'insultlation avec la poire de PoLiTZER provoquent, au contraire, une élévation brusque de niveau, et Information d'une ligne d'ascension très élevée, dont la courbe plus étendue de descente se divise en deux zones; l'une immédiate à descente vive, l'autre plus lente, oblique, et d'autant plus. FiG. 80. â Tracés des mouvements du tympan (très amplifies); pendant l'épreuve do Valsalva. a. éprouve do Valsalva qui refoule le tympan en dehors do n à h\ de là descente graduelle activée en c par une déglutition. â c, c', crochets de la déglutition; retour immédiat à la ligne d'équilibre. longue que la trompe est moins perméable {Ãtudes d'Otoloyie, t. r, 1870, et Précis d'Oto- logie, 1880). On voit ainsi sur ces tracés les différences de mobilité en dehors et en dedans de la cloison tympanique. Cotmnent les pressions sur l'elrier affniblisspnt-eUis le courant sonore, aérien ou soli- dien? â Les pressions sur le tympan, les tensions intra-tympaniques dues à l'aération artificielle de la caisse (Savart, Wollaston) atténuent d'une façon sensible l'auilition aérienne. Quant à la perception crânienne, j'ai montré que le fait existe aussi bien pour elle que pour la première; de plus, j'en ai donné l'explication en montrant que ces mêmes pressions refoulent l'étrier et l'immobilisant momentanément (
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