La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . , Ilfc découvre,& ccft Edmond que je vois!...Ah! ce nom, (i-chèr , me déchire lecœur !... Où eil-il ? où eft-il ?... Avoirfa grâce , & ne pas fe ! ne pasreparaîtra Il fera mort quel que-part,de honte , de douleur , de besoin ! Detous les maux dont la nature peut acca-bler un misérable Mortel, anquun , au-quun na - manqué k mon malhcureusFrère ?..• Auquun ne ma-écé-épargné,à-raoi-méme. Infortunée, hors la mort,que mon F


La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . , Ilfc découvre,& ccft Edmond que je vois!...Ah! ce nom, (i-chèr , me déchire lecœur !... Où eil-il ? où eft-il ?... Avoirfa grâce , & ne pas fe ! ne pasreparaîtra Il fera mort quel que-part,de honte , de douleur , de besoin ! Detous les maux dont la nature peut acca-bler un misérable Mortel, anquun , au-quun na - manqué k mon malhcureusFrère ?..• Auquun ne ma-écé-épargné,à-raoi-méme. Infortunée, hors la mort,que mon Frère a~trouvé Je le voisbien;ccilnotrefangqu il fautaux Mânespaternelles : les deux Parricides doivcncpérir : ce que jai-foufïert, nétait quunehorrible qiieilion avant le fuppîice; maisje fuis-condamnée, ma fentenee efl-lue ;je vois, je vois un Juge févère qui me lamontre, ôi derrière-îui un * Sujet ^ «îe la *Ahl Dieu! cclt encore Edmond XXXIII. •S Eftampe, que j*ai-cru-voir!... En*quel état afFrcus!froW^ice privé dun œil & dun bras ; horrible*Partie. ITient dcngureî.,. me montrant par ks. VIIL-« Partie. 219 chei^eusîatêère!.., ^ Je ne fuis pas à moi, chère Sœur, -dès que je moccupe de ces idées, quela présence feule de mon Fils a le pou-voir de bannir : mon imagination falu-me, &jecroisvoir toutcequeje penfe.,0On m*a-pourtaDtdonné quelques nou-velles confolaîites : Ton ,., ah Iceft Thonneur de notre nom, comme jen-fuis la honte i ton Mari a-tout-* furmontépar fa venu!..».. Le cher Bertrand, qui te rcînettracette Lettre, te dira comme feft-faîCmon mariage. Fêtetriile&lugubre !...Jétais en-deuil : mes larmes ont-coulé, fangîots mont-échappé aupléd des autels. :¥ La cérémonie a-été , * ^i-^ * de ia publique : m.® la Comtefie ^ ayeule de Fils, 1 a-voulu a-cause de lEnfant ;les deux Familles du Comte & de laComtefTe y étaient, avec tous leurs Am


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