Premier livre de l'histoire de la navigation aux Indes Orientales, par les hollandois, et des choses a eux advenues : ensemble les conditions, les meurs, & manieres de vivres des nations, par eux abordees : plus les monnoyes, espices, drogues, & marchandises, & le pris d'icelles : davantage les decouvremens & apparences, situations, & costes maritimes des contrees : avec le vray pourtrait au vif des habitans : le tout par plusieurs figures illustré : tres-recreatif a lire a tous navigans & amateurs des navigations lointaines, ez terres estrangeres . Premier Livre de ht Navigation te poultrait
Premier livre de l'histoire de la navigation aux Indes Orientales, par les hollandois, et des choses a eux advenues : ensemble les conditions, les meurs, & manieres de vivres des nations, par eux abordees : plus les monnoyes, espices, drogues, & marchandises, & le pris d'icelles : davantage les decouvremens & apparences, situations, & costes maritimes des contrees : avec le vray pourtrait au vif des habitans : le tout par plusieurs figures illustré : tres-recreatif a lire a tous navigans & amateurs des navigations lointaines, ez terres estrangeres . Premier Livre de ht Navigation te poultrait des Marchant effranger t A : leur veileniens en allant & venant i ou le D eft le Marchand Maïayos : qui fe nfjk de donner sr fur le retour des navires, & fur voyages, E. Eft la figure du QuiBîn, qui fe méfie auft defemllable trafique. Sont auft ceux qui achètent les és Chinoijcs, & eftans défont*-, rrvendtm* F. icj eft adjt-iiit le pourtratï de leur femmes, & attmrtmens Habitationdes Chi-nois. Comme ilsvendent &icvendét lePoivre. lia ciuatitcde leurmonnoye. Des Chinois t leur trafique ey manière de H A P. 28. L Es Chinois demeurent à Bârttam fieule, en uh lieu hors de la ville, lequel eft environné dune forte paliflâde,& dun marefcagefortifié,où ils ont les plus belles maifons de toute la ville. Ceft %m peuple fort fubtien toutes leurs trafiqucs,& tres-diligent a gagner de largent-,& aufll défaire bonnechere. Quand ils viennent premieremët de China j\s font tout âinfi qu il eft dit des autres Marcha^ achetas uticfèmme pour leur ferviijufques a ce quils retournent vers Chinà,& alors la revendër,prenans avec eux les enfan^fi aucuns font procreeaCeux qui demeurent a Bantarn, font ceux qui achètent le Poivre des Villageois, allarrs avant en pays fur les villages avec leur balance en main, pelàns premièrement combien il yen peut avoir, & lors offrent félon quil leu(emblc, que les gens ont anairedargentj&a
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