Oeuvres dramatiques de Néricault Destouches . t affez doux,Mon père me marie en même-temps que vous;Au lieu de la maman, on me donne Ton traite la chofe avec la bonne femme. DORANTES Célimhe,Et vous y confentez \ C E L I M E N E. Je fiis tout mon bonheurDe lui donner bien-tôt, <& ma main, & mon cœur. SCENE DERNIERE. PYRANTE, JULIE, CFLIMENE, DORANTE, Le CHEVALIER, F R O N T I N. PYRANTE. HiNFiN, grâces au ciel, jai fini mon venons de conclurre un double mariage. ( à Durante. )Jai pendant quelque temps troublé votre bonheur; Mais vous allez fortir heureufement derreur.
Oeuvres dramatiques de Néricault Destouches . t affez doux,Mon père me marie en même-temps que vous;Au lieu de la maman, on me donne Ton traite la chofe avec la bonne femme. DORANTES Célimhe,Et vous y confentez \ C E L I M E N E. Je fiis tout mon bonheurDe lui donner bien-tôt, <& ma main, & mon cœur. SCENE DERNIERE. PYRANTE, JULIE, CFLIMENE, DORANTE, Le CHEVALIER, F R O N T I N. PYRANTE. HiNFiN, grâces au ciel, jai fini mon venons de conclurre un double mariage. ( à Durante. )Jai pendant quelque temps troublé votre bonheur; Mais vous allez fortir heureufement derreur. Tome L E e e 402 LIrréfolu, èfc. Je nai jamais rien tant fouhaité dans ma de pouvoir un jour vous unir à figné : tout eft prêt, fuivez-moi mêlez votre joie à mon raviffement. ( ils Jonent tous, hors Dorante & Frontîn. ) F R O N T I N .7 eft tout à vous; nous voilà Iiors de peine. DORANTE après avoir rêvé.Jaurois mieux fait, je crois, dêpoufcr Célimène. F I K. L E MEDISANT. COMEDIE, Eee 1/ ?m li •» I m ACTEURS. Le BARONNE. MARIANNE, fiHe du Baron. V A L E R E, frère de Marianne. D A M O N, amant de Marianne. L E A N D R E, amant de Marianne. Le marquis de RICHESOURCE, autre amantde Marianne. ISABELLE, fœur de Richefource. LISETTE, fuivanfe de Marianne. J A V O T T E, fuivante dIfabeHe. Le MARQUIS, père de Léandre. F R O N T I N, valet de Léandre. Un ECUYER. Six LAQUAIS. Lu Scène efi à Paris, dans la maifon du Baron. L E MEDISANT, Comédie. ACTE PREMIER. SCENE PREMIERE. Le BARON, La BARONNE, H Le BARON. E bien, fur ce fujet nayons point de querelle ;Oui, ma femme, autrefois vous fûtes jeune <& , grâce à vos vertus, le lardon fcandaleuxNe ma point mis au rang des époux fi mon front par vous a reçu du lignore, & pour moi cefl \m grand avantage. La donc î vous doutez . , Eee iij Le jMédifant, Le B A R O N. Ah !
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