. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. 142 GH. BRONGNIART. â REVISION DES SALOMONITiE, Le front est très remarquable; il est d'abord nettement délimité sur les côtés par une crête rugueuse arquée qui part des yeux pour aboutir à la base des mandibules, à l'angle postérieur. De l'angle antérieur des mandibules part une autre crête qui se dirige en haut ; d'abord droite, elle devient sinueuse, tendant à se diriger vers la pointe céphalique, sans cependant y aboutir. De la base de cette pointe céphalique part une crête droite qui


. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. 142 GH. BRONGNIART. â REVISION DES SALOMONITiE, Le front est très remarquable; il est d'abord nettement délimité sur les côtés par une crête rugueuse arquée qui part des yeux pour aboutir à la base des mandibules, à l'angle postérieur. De l'angle antérieur des mandibules part une autre crête qui se dirige en haut ; d'abord droite, elle devient sinueuse, tendant à se diriger vers la pointe céphalique, sans cependant y aboutir. De la base de cette pointe céphalique part une crête droite qui sépare le front en deux parties; arrivée au milieu du front, elle se bifurque et chacune des branches, après s'être écartée de la ligne médiane obliquement en descendant, se dirige obliquement en bas, formant un angle obtus, puis rejoint la crête qui part du bord interne des. Fig. 5 et 6. â Saloinona rugifrons Wslker, â Tête vue de profil et de face. mandibules. Des rugosités irrégulières unissent la crête des joues à la crête du bord interne des mandibules. L'écusson est d'un brun- clair, tandis que les mandibules sont d'un brun-noir brillant. Les élytres sont testacés comme les autres parties du corps avec des taches plus foncées éparses et les nervures plus claires ; ils sont un peu plus longs que les ailes, qui sont diaphanes, avec toutes leurs nervures d'un testacé roussâtre, de même que leur bord antérieur. Les élytres sont étroits, allongés, arrondis et non acuminés â l'extrémité. (Au contraire, l'espèce à laquelle nous réservons le nom de S. marmorata Blanch. offre des élytres rétrécis et acuminés à l'extrémité). Mais ce n'est pas tout, la nervation des élytres paraît caractéristique pour iJ. rugifrons. Le champ précostal, c'est-à -dire l'espace qui s'étend entre les nervures costale I et sous-costa


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