. Dictionnaire pittoresque d'histoire naturelle et des phénomènes de la nature. ÃCUR 64o ECUR nesque; il vit sur les bords du Missouri, il a près de deux pieds de longueur, en comprenant le corps et la queue. EcuR. DU Mexique, Se. mexlcanus, Gm. Espèce douteuse , donnée comme ayant sept bandes blanchâlres longitudinales sur le dos des mâles , et cinq sur celui des femelles. Son nom indique la patrie qu'on lui suppose. EcuR. DE LA Californie, Se. leueogastra, F. Cuv., Mam. Il paraît appartenir exclusivement aux contrées occidentales de l'Amérique septentrio- nale, et surtout au Mexiqu
. Dictionnaire pittoresque d'histoire naturelle et des phénomènes de la nature. ÃCUR 64o ECUR nesque; il vit sur les bords du Missouri, il a près de deux pieds de longueur, en comprenant le corps et la queue. EcuR. DU Mexique, Se. mexlcanus, Gm. Espèce douteuse , donnée comme ayant sept bandes blanchâlres longitudinales sur le dos des mâles , et cinq sur celui des femelles. Son nom indique la patrie qu'on lui suppose. EcuR. DE LA Californie, Se. leueogastra, F. Cuv., Mam. Il paraît appartenir exclusivement aux contrées occidentales de l'Amérique septentrio- nale, et surtout au Mexique et à la Californie. Il a toutes les parties supérieures d'un gris un peu foncé, et les inférieures d'un gris roux brillant. Son corps a dix pouces de long, et sa queue en a huit. EcuR. DE Botta, Se. i5'o/te,Less.,Cent.,pl. 70, dont le nom rappelle celui du voyageur qui l'a découvert, se trouve aussi en Californie. Sa queue est presque arrondie, et son pelage est partout de longueur médiocre, serré, généralement fauve, onde de noir sur les parties supérieures et externes, et d'un fauve clair tirant au blanchâtre en dessous. La longueur totale est de seize pouces, sur lesquels la queue en mesure six et demi. Nous avons déjà vu des Ecureuils dans le nord de l'Europe et de l'Asie , dans celui de l'Amérique ainsi que dans les contrées les plus chaudes des deux premières parties,- nous avons vu que le sol irûiant de l'Afrique en possédait aussi; l'Amérique méridionale paraissait en être seule dépourvue, jcélalt du moins ce que pensaient les naturalistes ; mais on sait aujourd hiii positivement qu'elle a aussi les siens. Le prince Maximilien en a décrit un du Brésil sous le nom de Se. eestuans ; il paraît qu'il en existe aussi aux Antilles, et que le iSc. ni- ^er des auteurs vit dans plusieurs de ces îles , h la Martinique principalement. (Gerv.) ÃCUREUILS YOLANS. (mam.) On donne ce no
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