. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . ltés ; époufer Dorante , 8caller en France ! Sophie ne sy réibudrajamais. Go ternît z. Comment donc J Dorante ne feroit-iïpas de fon goût ? en ce cas, je la foup-çonnerois fort den avoir changé.Frederick. Ne voyez-vous pas les menaces quelleme fait pour lui avoir enlevé ie feigneurJean Matthias Macker. GOTERNITZ. Elle nignore pas combien les Françoisfont aimables. Frederick. Non, mais elle fait que les Françoifesle font encore plus, & voilà ce qui fé-


. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . ltés ; époufer Dorante , 8caller en France ! Sophie ne sy réibudrajamais. Go ternît z. Comment donc J Dorante ne feroit-iïpas de fon goût ? en ce cas, je la foup-çonnerois fort den avoir changé.Frederick. Ne voyez-vous pas les menaces quelleme fait pour lui avoir enlevé ie feigneurJean Matthias Macker. GOTERNITZ. Elle nignore pas combien les Françoisfont aimables. Frederick. Non, mais elle fait que les Françoifesle font encore plus, & voilà ce qui fé-pouvante. Sophie. Point du tout. Car je tâcherai de le de-venir avec elles , & tant que je plairai àDorante je meftimerai la pïus glorieuiede toutes les femmes, H x $ï6 Les Prisonniers,&e* Dorante. Ah ! vous le ferez éternellement, belleSophie ! vous êtes pour moi le prix dece quil y a de plus eftimable parmi leshommes. Ccft à la vertu de mon père,au mérite de ma nation , & à la gloirede mon Roi que je dois le bonheur dontf e vais jouir avec vous ; on ne peut êtreheureux fous de plus beaux aufpices,. LETTRES A M- D U T E N $• LETTRE PREMIERE. A Vootion le <; Février 1767. JEt01 s , Monfieur, vraiment peiné dene pouvoir, faute de favoir votre adrefîe ,vous faire les remerciemens que je vousdevois. Je vous en dois de nouveauxpour mavoir tiré de cette peine, & fur-tout pour le livre de votre compontionque vous mavez fait lhonneur de men-voyer : je fuis fâché de ne pouvoir vousen parler avec connoiffance , mais ayantrenoncé pour ma vie à tous les livres;je nofe faire exception pour le vôtre ,car outre que je nai jamais été affez fa-vant pour juger de pareille matière, jecraindrois que le pîaifir de vous lire neme rendît le goût de la Littérature, quilmimporte de ne jamais lahTer je nai pu mempêcher de par-courir larticle de la Botanique , à la-quelle je me fuis confacré peur tout amu- H? ii S, Lettres fement ; & fi


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