. Bulletin de la Société botanique de Genève . riété du TUluiidsiii nipestrin Mez,la \ar. pcndcns Chod. et Vischer (n95 bis) se fixe aux parois des l)iocsinujiensesdont est composé léboulemeid du Gerro Tomas i lig. 02). Icià Acahay, une espèce particulière à hupudle nous donnons le nom deTillandsia pseudo-s/ricla Gliod. et Vischer, développe aussi des cram-pons, mais elle est, à ce point de vue, beaucoup uneiix lixée et cons-titue des étendues considérables un peu à la fa(:on du /. Larciil^iana 230 nULLETlN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (1-23) (Irisch., une autre espèce rupicole des fentes
. Bulletin de la Société botanique de Genève . riété du TUluiidsiii nipestrin Mez,la \ar. pcndcns Chod. et Vischer (n95 bis) se fixe aux parois des l)iocsinujiensesdont est composé léboulemeid du Gerro Tomas i lig. 02). Icià Acahay, une espèce particulière à hupudle nous donnons le nom deTillandsia pseudo-s/ricla Gliod. et Vischer, développe aussi des cram-pons, mais elle est, à ce point de vue, beaucoup uneiix lixée et cons-titue des étendues considérables un peu à la fa(:on du /. Larciil^iana 230 nULLETlN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (1-23) (Irisch., une autre espèce rupicole des fentes des rochers. EJIc paraîtappartenir à un groupe despèces voisines du T. dianthoides Rossi carson faciès et ses capsules sont de ce type. ScjJiMPER, auquel il faut toujours revenir quand it sagit de la hiu-logic (les iîruniéliacées, ne connaît aux Antilles que de iares exemplesde TillaiidsKi ((iii arriveraient à tleuiir sur un substratum rocheux(I. c. 38»i). Il dit même ignorer sil existe des espèces de ce genre lig. 92. — Dans le grand ébonlis de .San Tomas ; rocher aux parois verticales portant,cramponné à sa surface dadhésion (cfr. fig-. 96), une belle touffe de Tillandsia rupestrisMez. var. pendens Chod. et Vischer. Voir la couleur argentée des feuilles canaliculéeset les inflorescences presque horizontales. (Pliot. W. V.) liabituellement, seraient fixées directement sur le roclier. Les auteurscitent, il est vrai, plus dune espèce rupicole, mais les systéniaticiensqui nont pas vu les plantes en place, ignorenl si les plantes rapportéespar les collecteurs sont des végétaux fixés aux fentes dans lesquellesils enverraient leurs racines ou sil sagit dune véritable litlio|)lntie,de vi-ais épilithes à cranqions simplement adhérents à la surface durocher. (124) l;. CtlODAT. LA VKCKTATIOA, Kl lAliACLAV -2: M riiéoiiqiitiiieiil, celle catégorie de véi;élaii\ esl parraileiiienl possiblrpuisque daulces, comme les peliles espè
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