Traité des maladies de l'enfance . ayant indiqué un épanchement abondant, notre confrère ponctionneavec un gros trocart dans lespace intercostal situé au-dessous de celui oùavait été faite la première ponction. Cette fois il sécoule 700 grammesdun liquide séro-fibrineux absolument inodore et tout semblable à celuides pleurésies séro-fibrineuses ordinaires. Mais cette évacuation elle-mêmenamène pas grand soulagement. 11 constate les signes dun pneumothoraxayant remplacé la pleurésie et il envoie le malade à lhôpital. Cette histoire indique de la façon lapins claire la succession des accidents.[
Traité des maladies de l'enfance . ayant indiqué un épanchement abondant, notre confrère ponctionneavec un gros trocart dans lespace intercostal situé au-dessous de celui oùavait été faite la première ponction. Cette fois il sécoule 700 grammesdun liquide séro-fibrineux absolument inodore et tout semblable à celuides pleurésies séro-fibrineuses ordinaires. Mais cette évacuation elle-mêmenamène pas grand soulagement. 11 constate les signes dun pneumothoraxayant remplacé la pleurésie et il envoie le malade à lhôpital. Cette histoire indique de la façon lapins claire la succession des accidents.[! y a eu un foyer de gangrène pulmonaire affleurant la plèvre viscérale. Laplèvre a subi une inflammation de voisinage et cette inflammation a donnénaissance à un épancheinent séro-fibrineux. La première ponction a mené MAI \l»lls DE 1\ PLÈVRE 581 directement dans le foyer gangreneux <lu poumon. Aussi, après I évacuationducontenu de ce lover, lair uni venait de la bronche en communication avec. / MMM 1 . , . CM2 ÇO ce £ _JCM -3 /jvrrb /JJW i T ? - ILL» i ! 1 f es V d A r m f ^ c u)Evpnpuoisia*3?r ; fa//»cfr/M û ^*> i CO . - • m .*Zcm f J ^ ê d H - - 1 - 4flf *y> 3_•3 1 *C^^ [ jP m% Ci CM nj CMCM ç > [e 9 i i ^S^ i -^* 1 :, v^ J> O <L ! 1 1 . il 11 rw 111 H S S 3 s S S % % la cavité a suivi le trajet de la canule et causé lemphysème. La seconde ponc-tion évacuant le contenu séro-fibrineux de la plèvre, la cavité creusée dansle poumon nest plus comprimée, elle souvre dans la plèvre, y laissant INETTER] 328 APPAREIL RESPIRATOIRE. arriver lair 11 ce qui restait de sa nie. Le pneumothorax se produit dembléeet les agents putrides ne tardent pas à provoquer une sécrétion sanieuseque nous avons trouvée au moment de not
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