. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. lion que Tartarin avait tué, cétaientdix lions, vingt lions, une marmelade de lions ! AussiTartarin, débarquant à Marseille, y était déjà illustresans le savoir, et un télégramme enthousiaste lavaitdevancé de deux heures dans sa ville natale. Mais ce (|ui mit le condde à la joie populaire, ce fut(juand on vit un animal fantastique, cou\ert de poussièreet de sueur, apparaître derrière le héros, et descendre àcloche-pied lescalier de l


. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. lion que Tartarin avait tué, cétaientdix lions, vingt lions, une marmelade de lions ! AussiTartarin, débarquant à Marseille, y était déjà illustresans le savoir, et un télégramme enthousiaste lavaitdevancé de deux heures dans sa ville natale. Mais ce (|ui mit le condde à la joie populaire, ce fut(juand on vit un animal fantastique, cou\ert de poussièreet de sueur, apparaître derrière le héros, et descendre àcloche-pied lescalier de la gare. Tarascon crut un ins-tant sa Tarascjue revenue. Tartarin rassura ses compatriotes. — Cest mon chameau, dit-il. Et déjà sous linfluence du soleil tarasconnais, ce beausoleil qui fait mentir ingénument, il ajouta en caressantla bosse du dromadaire : — Cest une noble bête !... Elle ma vu tuer tous meslions. Là-dessus, il prit familièrement le bras du comman-dant, rouge de bonheur; et, suivi de son cliameau, en-touré des chasseurs de casquettes, acclamé par tout lepeuple, il se dirigea paisiblement vers la maison du bac- w ^. TAHTARIN DK TAl^\6CO^? CaJœe -_ ^ar- dement 1« cheram ic la. A HOUSSL^îl POrn LA r,Ol RONiNE. 281 Quel mot proiioaces-Ui? Sois coiiliaiit, mon maî chagrin qui te navre, oh ! iais-le-moi connaî suis-je donc trompée alors quen ta maisonJai cru voir se glisser la pâle trahison ?Dis-moi comment la mort soudaine est descendueSur lhomme dont là-bas triomphe la statue,Et pourquoi, depuis lors, le vent du désespoirSouffle sur CONSTANTIN. Non! non! Tu ne dois rien père est un héros tombé pour la patrie,Et le soupçon dont lut sa loyauté tléliiePar nous deux, et quici lu moses rappeler,Militza, jure-moi de nen jamais parler ! JIILITZA. Jobéirai. Sur quoi veux-lu (jue je le jure? Là, tiens, sur ce poignard ([ui vient de ta ceinture Et que je porte ainsi quu


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