Cantiques à l'unisson destinés aux paroisses . *1 Lettre de M, lAbbé Carry, vicaire général de Genève -? Messieurs, Je vous félicite très sincèrement du nouveauchoix de cantiques que vous offrez au avez mis en commun vos efforts et vostalents. Le prêtre a composé des cantiques pleinsde doctrine et de piété, et dun goût littéraireexquis. Lartiste, initié à tous les secrets de lamusique religieuseN traditionnelle, a fourni desmélodies qui charment loreille et parlent aucœur. Je souhaite à votre recueil un grand etlégitime succès. Veuillez agréer, Messieurs, mon sincère etreligieux dé


Cantiques à l'unisson destinés aux paroisses . *1 Lettre de M, lAbbé Carry, vicaire général de Genève -? Messieurs, Je vous félicite très sincèrement du nouveauchoix de cantiques que vous offrez au avez mis en commun vos efforts et vostalents. Le prêtre a composé des cantiques pleinsde doctrine et de piété, et dun goût littéraireexquis. Lartiste, initié à tous les secrets de lamusique religieuseN traditionnelle, a fourni desmélodies qui charment loreille et parlent aucœur. Je souhaite à votre recueil un grand etlégitime succès. Veuillez agréer, Messieurs, mon sincère etreligieux dévouement. E. Carry. v ève, 19 février io,To, AVERTISSEMENT. es auteurs disent volontiers dans leurpréface, quen publiant leur œuvre ilscèdent aux prières de leurs amis. Cestvrai une fois déplus. Et, au défautdautre mérite, le présent recueil a dumoins celui davoir été longtemps désiré et patiem-ment attendu par ceux qui avaient eu la bienveillanceden approuver la première idée. Espérons quepersonne ne sera déçu. Paroles et mélodies ont été choisies ou composéesavec beaucoup de soin, chantées en public, et, aprèsce premier essai, revues et corrigées. Ces NouveauxCantiques ont déjà donc, peur ainsi dire, fait leurspreuves. Mais pourquoi, parmi tant aœuvres de ce genreexistantes ou possibles, aller choisir des Chorals deBach ? Cest que — et cette raison dispenserait desautres — Un en est pas de meilleurs. La plupart,dorigine catholique, ont été chantés dans nos Eglisesau temps où Von riy souffrait que de belles choses-Il y avait donc là un bien de famille quil seraicriminel de laisser tomber en déshérence, su


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