Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . reur sans cesse répétée. Il a cru que le mot bourg sappliquait à la presquî on a un diplôme, daté de la Ci7e de Lyon, et par lequel Louis lAveugle donneà léglise de Lyon labbaye dAinay, dite en deçà de la Saône (Cis Ararim). La Cité,où il se trouvait alors, était donc également sur la rive gauche de la Saône. Du reste,la Cité était spécialement le siège de lévêque, et, pendant toute la période méro-vingienne, les évêques avaient siégé à Saint-Nizier; cest ainsi que Grégoire de Toursdist
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . reur sans cesse répétée. Il a cru que le mot bourg sappliquait à la presquî on a un diplôme, daté de la Ci7e de Lyon, et par lequel Louis lAveugle donneà léglise de Lyon labbaye dAinay, dite en deçà de la Saône (Cis Ararim). La Cité,où il se trouvait alors, était donc également sur la rive gauche de la Saône. Du reste,la Cité était spécialement le siège de lévêque, et, pendant toute la période méro-vingienne, les évêques avaient siégé à Saint-Nizier; cest ainsi que Grégoire de Toursdistingue parfois loppidum de Fourvière et la Civitas doutre-Saône. Lautre faubourgétait, vers gZo., une ville neuve appelée Triffoncium, devenu Trion, comme laremarqué M. Allmer, et ainsi nommé des trois voies qui lentouraient (sicut très viecircondenl). Rappelons enfin que le port romain (t. Ittr, p. 281, fig. 326 et 327) étaittoujours très fréquenté, comme le prouvent de nombreuses monnaies carlovingiennesnotamment de Pépin que M. Derriaz y a l35. — LYON CARLOVINGIEN femme, fut cause de ses malheurs, ce mariage ayant été déclaréillégitime. i48 H I S ï OIR I: DE LYON La faveur dont jouissaient larchevêque ZZZi
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