. Les types de Paris. TROIS IIEUHES. FETE BAT SON PLEIN. TYPES DES FÊTES FORAINES. 71 Parmi les nasillants hautboisDes vicnix oij^ncs de Barbarie,Vire sous la verroterie La cavalerie Des chevaux de bois. Virez, virez à perdre haleine, Bons chevaux chantés par Verlaine. Après lui point je ne diraiVotre étrange et soûlant suppliceOù dans les délires on {jlisse, La moelle eu délice, Le cœur chaviré. Virez, virez à perdre chevaux chantés par Verlaine. Chevaux au ventre toujours vos yeux fixes se reflèteLe rêve où la bonne en toilette Se pâme et halète Près du piou câlin
. Les types de Paris. TROIS IIEUHES. FETE BAT SON PLEIN. TYPES DES FÊTES FORAINES. 71 Parmi les nasillants hautboisDes vicnix oij^ncs de Barbarie,Vire sous la verroterie La cavalerie Des chevaux de bois. Virez, virez à perdre haleine, Bons chevaux chantés par Verlaine. Après lui point je ne diraiVotre étrange et soûlant suppliceOù dans les délires on {jlisse, La moelle eu délice, Le cœur chaviré. Virez, virez à perdre chevaux chantés par Verlaine. Chevaux au ventre toujours vos yeux fixes se reflèteLe rêve où la bonne en toilette Se pâme et halète Près du piou câlin. Virez, virez à perdre chevaux chantés par Verlaine. Bons chevaux qu il a si bien dits,(Jue par vous au ciel il se case,Et portez-le, comme un Péjjase Aux ailes de gaze, Dans son Paradis. Virez, virez à perdre haleine,Bons chevaux chantés par Avoz-voiis des amis parla? Moi, j ailes le bout du cliauip de foire. Une bagnoleAu hublot de laquelle lui oiseau rossi{ là que mes amis eampent : des Boliéniiens. Vous les reconnaîtrez à leur teint noir de liâlesEt doré cependant comme entre chair et cuir,A leui pas si léger toujours prêt pour senfuir;Vous les reconnaîtrez surtout à leurs pâles. Vous lirez dans ces yeux de luups, jaunes et gris,li amour du changement, lliorreur du sédentaire,Et la soif de nouveau qui par toute la terreEait roder à jamais ces éternels proscrits. Et vous serez jaloux de leurs maisons en toile,Sans laeiues, sans murs, sans âtre et sans verrou,Mais dont le toit flottant toujours par quelque trouFiltre au front des dormeurs le baiser d une étoile. HENRI CÉARD
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