. The Canadian field-naturalist. 360 The Canadian Field-Naturalist Vol. 114 les especes citees par Bouchard et al (1983) ou Lavoie (1992). Seuls les synonymes recents pouvant preter a con- fusion sont cites. La plupart des especes, inconnues du public, ne possedent pas de nom vulgaire. Cependant, lorsque disponible, un nom fran§ais (tire de Marie-Victorin 1997) et un nom anglais (tire de Gleason et Cronquist 1991) sont mentionnes. Identification des especes Les Potamogetonaceae se distinguent des autres families de plantes aquatiques par un epi portant plusieurs verticilles de fleurs hermaphro
. The Canadian field-naturalist. 360 The Canadian Field-Naturalist Vol. 114 les especes citees par Bouchard et al (1983) ou Lavoie (1992). Seuls les synonymes recents pouvant preter a con- fusion sont cites. La plupart des especes, inconnues du public, ne possedent pas de nom vulgaire. Cependant, lorsque disponible, un nom fran§ais (tire de Marie-Victorin 1997) et un nom anglais (tire de Gleason et Cronquist 1991) sont mentionnes. Identification des especes Les Potamogetonaceae se distinguent des autres families de plantes aquatiques par un epi portant plusieurs verticilles de fleurs hermaphrodites, des fruits sessiles ou tres courtement pedoncules ainsi que par des feuilles alternes munies d'une stipule dont au moins la ligule est libre. Une mauvaise opinion n'est certainement pas le moindre des obstacles auxquels se heurte I'identifi- cation des Potamogetonacees. Un rapide survol de la litterature fournit de nombreux exemples tels que: «The genus is extremely difficult» (Cronquist et al. 1977), ou bien encore «...(Potamogeton) present considerable difficulties» (Riley 1979). Sculthorpe (1967) quant a lui ecrit «... genera of infamous taxo- nomic repute include Potamogeton ...». Fernald (1932) cite Asa Gray qui ecrivait «...ignoble Pond- ». La mauvaise reputation que trahissent de tels com- mentaires est largement surfaite. II est en effet possi- ble d'identifier facilement un specimen complet et en bon etat, du moins pour les especes du Quebec. De plus, il n'est pas rare que des fragments ou des parties de plante puissent etre relies a un taxon. Avec un pen d'habitude plusieurs especes peuvent etre nommees sur le terrain au premier coup d'oeil. On ne saurais trop insister sur I'importance d'obtenir des specimens complets et fructifies. En effet, le fruit est souvent necessaire pour nommer surement certaines especes. Comme le font si juste- ment remarquer Haynes (1974) et Voss (1972), on ne tentera pas de nommer a I'espece des specimens a I'etat ve
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