Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . novitj tamen apudPytkagoricos inventum fuijfe Jamblicus tradit , utconfiât ex diBis , demnnftrationibufque Sexti Pytha-goriciy qui per fuccejfionem fufceperat artem dtmonftra^tionis , & poft eum fucceffic Archimedes, qui perlineam quse dicitur Nicomedis , invenit eam. ItemJSJicomediis quadrare circulum peridnatus e(lpe^ lineamqu
Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . novitj tamen apudPytkagoricos inventum fuijfe Jamblicus tradit , utconfiât ex diBis , demnnftrationibufque Sexti Pytha-goriciy qui per fuccejfionem fufceperat artem dtmonftra^tionis , & poft eum fucceffic Archimedes, qui perlineam quse dicitur Nicomedis , invenit eam. ItemJSJicomediis quadrare circulum peridnatus e(lpe^ lineamquœ proprie vocatur quadrans. Irem Apollonius perquamdam lineam , quam ipfe vocat fororem linecetortuofae , ad inftar cochleae , teftudinifve , quac ea-dem eftcum eâ quse dicitur Nicomedis. Item corpusquadrare voluit per lineam quamdam , quam fîmpli-citer ex duplici mocu vocat. Item plerique alii, ucnarrât Jamblicus , variis modis problema , & qusefl-tum probarunt. Simplicius in prAdicamenta Arifiote^/is, edit» Scoti y Venet, IS^7 > I^^ P S^,. Vid. &, DU Cercle. 1^3 aux Anciens une gloire au moins égale à celledes Modernes dans les queftions les plusdifficiles des fciences les plus fublimes. eundem in prim. Phyjtcorum , p. 19, coL i. VtneU. Lij î<?4 Miroirs WMIII I. I. —1II I ?mil ?III III ?—^ CHAPITRE VIII. Miroirs ardents» Miroirs ar- 254. LE génie fécond dArchimede seft dems dAr- -r n. J * 1 r chimede, lé- manireite d une manière eclarante, non leu- voqucs en I j 1 • / / doure par lement dans les ouvrages qui nous ont eteXir,^° confervés- de lui , mais auffi dans les def-criptions admirables que les auteurs de fontemps nous ont faites de Tes découvertesdans les mathématiques &; la mé des inventions de ce grandhomme ont paru tellement au-deiTus de Ti-masination & de lexécution de lhomme,que de célèbres philofophes les ont révoquéesen doute (i), & ont été jufqu à prétendretticme en démontrer limpoilibi
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