. Le pegme de Pierre Covstav . nt il fe peut faire que partel infiniment des faintes écritures plu*fleurs ont été ofFenfés. Mais comme lherbcRhcdcdaphné^profiteaux homes contre le venin,&eflgrandement louée enmedecinesrmais t\\z étaint Se tue les bé*tesbrutcsraufsi ces faintes letres incitetles gens de bien à vertu,& otentlesper^turbatiôs des efpris bien informés: maisaux médians apportent extrême dangerSe fouuent leur engendrent mauuaifesopinions. Car fi nous voulons dés la naiffance de legîife reuoquer en mémoire leshérétiques, il ne sen trouuera aucun quien fa méchante doctrine ne fe foit f
. Le pegme de Pierre Covstav . nt il fe peut faire que partel infiniment des faintes écritures plu*fleurs ont été ofFenfés. Mais comme lherbcRhcdcdaphné^profiteaux homes contre le venin,&eflgrandement louée enmedecinesrmais t\\z étaint Se tue les bé*tesbrutcsraufsi ces faintes letres incitetles gens de bien à vertu,& otentlesper^turbatiôs des efpris bien informés: maisaux médians apportent extrême dangerSe fouuent leur engendrent mauuaifesopinions. Car fi nous voulons dés la naiffance de legîife reuoquer en mémoire leshérétiques, il ne sen trouuera aucun quien fa méchante doctrine ne fe foit feruyde quelque lieu de lEuangille . MêmesMahumet combien quil ait baillé auxficus vne joy fort contraire a noftre euangilic fi a il toutefois tiré maîtes choies deieuagille à ces infamies,^ sefforça fonder fa méchante doctrine furie texte deieuâgiîâtn cflpashorsdepropos ce qdifoit AijftodeSicu, qlesPhilofophes nuifoientauxeyans, qui inter*pretentL s chofes bien Se fagementdites .iii. en mauuaife part. Car qui efc lachofe tantfainte*ment dite,que par leffort des médians ne foit def*forméecMais fi aucun ne fe propofe autre but en favie,que de f: montrer âpre defenfeur de la vérité,Se manie telles écritures non de fon fens , mais parle îugement des fages,il ne faut craindre que de ceslétres ne reçoiuegrand fruit <& vetritéla vcyeeftftmple,celuymefemble être horsdu fens qui le meine Se contraint à ces lasdedifpu*tes comme à vn moulin de parolles. Et qui eft ce*luy ,quilifanr noz Euangiles, encores quellesfoient nues Se écrites fans fleur doraifon,ne fr fen*te grandement épris de certaine cogitation dcladiuini té Se chofes grandescCar telles fiâmes de paroiles napportet rien àlaperquifition de la vérité: Seceft effort doraifon nefertderiens à la tractationdes chofes: fi non que tu pourfuiues iuiques en finlefuiet que premièrement tu auras entrepris. Etcertes la voix de Dieu eft venue vers nous nonpour inftru
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