. Études de phonétique espagnole . ro-noncé dune manière emphatique. Le tracé de bobo (fig. 29)montre que le son nest nullement emphatique et quelexplosion est très affaiblie. Pour que cette nasalité soitsensible il taut quil y ait occlusion et action du voile dupalais. Sil ny avait pas occlusion, le son serait fricatif etalors lair en vibration sortirait librement. Si le voile dupalais navançait pas, il y aurait une occlusive Saroïhandy dans le compte rendu du livre deM. Araujo (Romania, 1895, P- 302) considère ce faitseulement du point de vue des vibrations (blàchlaut) sansse rend
. Études de phonétique espagnole . ro-noncé dune manière emphatique. Le tracé de bobo (fig. 29)montre que le son nest nullement emphatique et quelexplosion est très affaiblie. Pour que cette nasalité soitsensible il taut quil y ait occlusion et action du voile dupalais. Sil ny avait pas occlusion, le son serait fricatif etalors lair en vibration sortirait librement. Si le voile dupalais navançait pas, il y aurait une occlusive Saroïhandy dans le compte rendu du livre deM. Araujo (Romania, 1895, P- 302) considère ce faitseulement du point de vue des vibrations (blàchlaut) sansse rendre compte de larticulation ni de laction du voiledu palais. M. Araujo aussi ne dit rien de cette nasalitépour les autres occlusives. Elle existe souvent, et il y amême une poussée dair pendant locclusion des sourdes. 2. Cf. Araujo, op. cit., p. 78, i. — 39 —trer une tendance vers la sourdité quon remarquera sur-tout chez C, mais qui apparaît de temps en temps dans laprononciation de tous les sujets, surtout de Fig. 50. On a identifié la prononciation des sons écrits par b eti . Considérons-le un peu. A linitiale, v ne présente pasla même qualité occlusive que b. Sur 29 cas, il y a 13
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