. Le Monde moderne. le icle préci-sément dans les fosses nasales, esl là pournous prémunir conlre linspiralicMi dun airvicié. Chez bien des les paehyilermes,les célacés la i-espirallon par la boucheest Impossible: bouchez-leui- le nez, ilsseront éloulTés. Le cheval ne respire paspar la bouche ; à la rigueur II pouriailinspirei ])ar lii ; mais la conformaliou duvoile du palais est tille (pill feime hernu-liquemenl lari-ière-bouclie, lormanl sou-p:qie du dedans au dehors, <lès (pie lesaliments son! passés. Il ny aurai! doncpas possibilité dexpiration de lair absorbé et par conséquent


. Le Monde moderne. le icle préci-sément dans les fosses nasales, esl là pournous prémunir conlre linspiralicMi dun airvicié. Chez bien des les paehyilermes,les célacés la i-espirallon par la boucheest Impossible: bouchez-leui- le nez, ilsseront éloulTés. Le cheval ne respire paspar la bouche ; à la rigueur II pouriailinspirei ])ar lii ; mais la conformaliou duvoile du palais est tille (pill feime hernu-liquemenl lari-ière-bouclie, lormanl sou-p:qie du dedans au dehors, <lès (pie lesaliments son! passés. Il ny aurai! doncpas possibilité dexpiration de lair absorbé et par conséquent étouffement si les voiesnasales soni obstruées. En considérant laconformation du système res])lratolre delhomme, on volt combien le canal nasalest large el comme il débouche faellemenl,par courbe peu prononcée, presque direc-tement dans lorifice de la trachée ; celtercs|ilrnli<iii •••.1 naturelle du reste que. Fig. 2. — .Schéma des voie.* respinitoires montrantlimportance de la respiration par le nei. Lair urrivo en plus {n-nndo quiiutité par cette voie («ielle est en bon Hat) que par la bouche. 1, 2, 3, fossesnasales ; r, pliarynx uù Tair se riichaulte et simnii-difle; T, trachée, cuuh] où lair passe aux poumons ;E, ôpiglotte qui obstrue cette voie (position en poin-tillé) au moment où on dirige les aliments dansiœsophnge N. lenfant cpii vieni de iiallre nen coiuiailpas-dautre. (!i-sl peu à peu quon eslamené à resplier par la bouche (piand lavoie nasale sobsirue plus ou moins, en-suite on prend celle haliilude el on nyprèle aueuiu- allenllon. Les alfectlons dunez, souveiil peu gènanles, h peine sen-sibles, onl donc une grande iniporlanee; rhiuoldgle ou élude des fonclious dunez esl une science nouvelle el les travauxdu docteur Mendel nous uionlreiil ipielleailla une heureuse Inllueiice sur le lialle-menl dune foule de maladies qui provien-nent lout slmpleiiunl de ee (p


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