. Astronomie . t état, lon verra laftrecherché au milieu de la lunette, fi toutes les vérifica-tions précédentes ont été bien faites. Seulement dansles petites hauteurs la réfraûion peut faire paroître laftreun peu plus bas dans la lunette , mais cela nempêcherapas quon ne le trouve aifément, leffet des réfratlionsétant ordinairement moindre que le champ de la 2623. Je terminerai ce traité des obfervationsjournalières, aftronomiques par un expofé fuccinâ: des objets quiméritent le plus lattention des aftronomes. On trouvechaque année dans la ConnotJJance des temps le détai
. Astronomie . t état, lon verra laftrecherché au milieu de la lunette, fi toutes les vérifica-tions précédentes ont été bien faites. Seulement dansles petites hauteurs la réfraûion peut faire paroître laftreun peu plus bas dans la lunette , mais cela nempêcherapas quon ne le trouve aifément, leffet des réfratlionsétant ordinairement moindre que le champ de la 2623. Je terminerai ce traité des obfervationsjournalières, aftronomiques par un expofé fuccinâ: des objets quiméritent le plus lattention des aftronomes. On trouvechaque année dans la ConnotJJance des temps le détail deschofes qui fe préfentent à obferver , mais il ne ferapas inutile de rappeller ici en peu de mots tout ce quelon peut faire journellement pour le progrès de laf-tronomie. Les conjondions de la lune aux étoiles & leurs occul-tations , arrivent prefque tous les jours , & fourniffentdes occafions continuelles de déterminer les longitudes des ^.ùxrjiamiè . PlXnK. Fiç ? 201. Tome So Objèrv, à la Lunette Parallatique. 8r des lieux ( 1970), & de perfectionner les tables de lalune ; les partages de la lune au méridien doivent êtreégalement une obfervation journalière ( 5937). Les éclipfes des fatellites de Jupiter fervent de mêmeaux longitudes (jp<^8); leur théorie a également befoindêtre perfectionnée ; ceft fur-tout dans les limites ôcdans les nœuds quils doivent être obfervés ( 29^1-2, Les oppofitions des planètes fupérieures ; ce font lestemps les plus favorables pour connoître leurs longitudesvues du foleil ^ pour déterminer leurs mouvemens, ÔCredifier leurs tables (11^2, 1201 ). Les conjonctions de Vénus produifent le même eiïetpour la théorie de cette planète ( 1201 ). Les plus grandes digreffions de Vénus & de Mer-cure ) fourniffent les feuls moyens de déterminer le mou-vement de laphélie & lexcentricité de lorbite ( i28(J,1518}. Les partages des planètes par leurs nœuds, & parleurs limites fo
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