Journal d'agriculture pratique . ncours de nombreux modèles demachines à battre en bout, avec batteur à pointes :Garnier et C= ; Gustave Texier (Vitré, Ule-et-Vi-laine) ; Mayfarth et C. Dans cette dernière ma-chine (fig. 78), les arbres sont montés sur cous-sinets à rouleaux (avec anneau graisseur)(llg. 79)qui diminuent dans une grande mesure les résis- tances passives de la transmission ; le batteur dehi petite machine représentée par la ligure 78 ou 0°>.46 de longueur. Ces machines àbattre actionnées par un manège se répandentbeaucoup depuis lapplication de la loi de )S,i8surles acc
Journal d'agriculture pratique . ncours de nombreux modèles demachines à battre en bout, avec batteur à pointes :Garnier et C= ; Gustave Texier (Vitré, Ule-et-Vi-laine) ; Mayfarth et C. Dans cette dernière ma-chine (fig. 78), les arbres sont montés sur cous-sinets à rouleaux (avec anneau graisseur)(llg. 79)qui diminuent dans une grande mesure les résis- tances passives de la transmission ; le batteur dehi petite machine représentée par la ligure 78 ou 0°>.46 de longueur. Ces machines àbattre actionnées par un manège se répandentbeaucoup depuis lapplication de la loi de )S,i8surles accidents, car, pour les machines agricoles,la loi ne soccupe que de celles qui sont misesen mouvement par un moteur nicaniiuc, en sup-posant que quand lon emploie un moteur animéce dernier peut sarrêter avant que laccident seproduise. MM. A. Lacroix et C(rue delà Monnaie, Caen,Calvados) présentent une nomeWe moto-batlcuse àdouble nettoyage, actionnée par un moteur àpétrole dune puissance de 7 chevaux. La ma-. chine, représentée par la figure 80, est établiesur le modèle des batteuses à grand travail ; lebatteur a de longueur, la longueur totalede lensemble est de et le poids est det,300 kilogr. ; selon le constructeur, cette ma-chine peut battre de 10 à 15 hectolitres de grainà lheure. Deux bottekuses meca/iii/ues pouvant sadjoindreà une machine à battre, sont présentées parMM. Mayfarth et C% et par M. Louis Faitot (bot-teleuse Welger frères). Ces deux machines, ayantplusieurs points de commun, prennent la pailleà la sortie des secoueurs dune machine à battre,la met en bottes et le liage à la ficelb^ se fait àla main dans la première botteleuse, avec unmécanisme lieur dans la seconde. On trouverades détails relatifs à la machine de MM. .Mayfarth et C dans le numéro 8 du Journal dagriculturepratique (2o février 1904, page 2o3). — lne petitebolteleiise à main, montée sur brouette, est expo-sée par M. E. Renaudin (47, rue
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