Encyclopédie socialiste, syndicale et coopérative de l'Internationale ouvrière . unacte qui aurait éloigné encore la possibilité de lunité, lonconclut à ce que M. Charles Gide et le citoyen Guilleminferaient, chacun de leur côté, un programme que lon soumet-trait à un arbitrage dont feraient partie les citoyens Jaurèsou Fournière. M. Charles Gide attendit vainement et, plustard, regrettait amèrement que rien neût été tenté dans cesens; en effet, le citoyen Guillemin, publiquement, renvoyaM. Charles Gide à la conférence quil avait faite, en mars1908, à lécole socialiste. Ce fut la rupture jusqu


Encyclopédie socialiste, syndicale et coopérative de l'Internationale ouvrière . unacte qui aurait éloigné encore la possibilité de lunité, lonconclut à ce que M. Charles Gide et le citoyen Guilleminferaient, chacun de leur côté, un programme que lon soumet-trait à un arbitrage dont feraient partie les citoyens Jaurèsou Fournière. M. Charles Gide attendit vainement et, plustard, regrettait amèrement que rien neût été tenté dans cesens; en effet, le citoyen Guillemin, publiquement, renvoyaM. Charles Gide à la conférence quil avait faite, en mars1908, à lécole socialiste. Ce fut la rupture jusquen 1910. » Dautre part, la Revendication de Puteaux, où une évolu-tion venait de se produire, VBconomie de Sens, tentèrent dese faire les intermédiaires entre la Bourse et lUnion coo- — 285 -- pérativc. De plus, une conférence contradictoire fut organiséepar la Revendication de Puteaux, avec le concours de Daudéet dHéliès. Mais cette réunion neut pas lheureux effet quon en atten-dait en faveur de lunité, malgré le nombreux public qui était. Congrès de kjio dv Parti Socialiste qvi examina proiu.ème coopératie venu. La raison en est simple. On avait recherché les causesqui éloignaient les deux organisations au lieu de recherchercelles qui devaient les rapprocher. Puis la discussion officielle de lunité vint enfin dans lessociétés et les fédérations, la question étant posée par iaRevendication de Puteaux. Dans le Bulletin, partant de finjuillet 1910 à juillet 1911, veille du congrès nationail de Calais — 286 - ce fut une discussion ardente où partisans et adversaires delunité dépassèrent même quelquefois les limites de la cour-toisie. Allait-on voter dans cette fébrilité une chose aussi consi-dérable ? Cest la question que se posèrent les amis de lunitéde la première heure : Poisson, Héliès, Sellier, Mutschler. Ilsconclurent que lon se contenterait de présenter un projet derésolution pour entrer en pourparle


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