. La prévention nationale, : action adaptée à la scène; avec deux variantes, ét les faits qui lui servent de base ... cas où lon voudrait les lire ala reprefentation.) On peut-voir y dans rOuvrage ^ d^oii CesLettres font-tirées^ la fuite de Vhifioire deDulis-Jils. La mort de fon Ami ; les regrets, leI desefpoir de Dulis : fareïmion avec Zoé ^I la mort de cette Fille généreuse, La mort de Madelene-Dulis. Celle de tous les Amis de Dulis-fils»\ Les écarts oit il donne ^ toujours pourJuivi par la malédiction-paternelle. Comme il crait la mort d^Henriette. Comme il ejl-prêt a Je-remarier.! Comme fa
. La prévention nationale, : action adaptée à la scène; avec deux variantes, ét les faits qui lui servent de base ... cas où lon voudrait les lire ala reprefentation.) On peut-voir y dans rOuvrage ^ d^oii CesLettres font-tirées^ la fuite de Vhifioire deDulis-Jils. La mort de fon Ami ; les regrets, leI desefpoir de Dulis : fareïmion avec Zoé ^I la mort de cette Fille généreuse, La mort de Madelene-Dulis. Celle de tous les Amis de Dulis-fils»\ Les écarts oit il donne ^ toujours pourJuivi par la malédiction-paternelle. Comme il crait la mort d^Henriette. Comme il ejl-prêt a Je-remarier.! Comme fa Famme reparaît en-Furie, Il l^oye\ furtout, à la fin du ÎÏI.^^ Volume,\le5 Avis qiCil donne par écrit à fa FilUHenriette, 144 La Préventîon-nacionale. Sujet de lEftampedu Trait fuivant. Jeanne-DArc recevant des armes blazonnées ^e$plains du Roi Châties-VII. Elle eft debout, ksParens, Père, Mère, Frères ôc Sœurs, font-à-genous î les Seigneurs environnent le Roi, qui dità Jeanne, » Sois-noble par ces armes , comme déjà Tes»par ta vaillance». [Bi] Jeanne^ *.T^eunne - [BI ] Jeanne- DArc. n-1428 5 une Jeunefille , âgée de dix*fept-ans, fimple, innocente^ fans-éducation ,fit cequonnVjamais-vu, 8c ce que probable-ment on ne verra-jamais. EU e était de Dom-remi, village du diocèse de Toul, près desrives de la Meuse, mais dépendant de laFrance. Ses Parens pauvres, mais honnêtes,lui avaient-donne léducation des Gens deleur état. Dès lenfance, Jeanne avait-été^nourrie dans lhorreur du nom anglais , hor-reur inceflamment accrue par les ravages dela guerre , qui désolaient jufquau lieu defà naiflance. Lexpulfion des Ennemis, Se letriomfe du Souverain légitime, étaient luniqremède aux malheurs publiqs ; Jeanne fen-tretenait-journellement avec fes Compagnes,de cet objet désiré; elle adreflait à Dieu lesplus-ferventes-prières. Son imagination fé-chaufFa fans-doute ; Se fon zèle fenflâmantavec Fâge , Se par les per
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