. Magasin théâtral. rs ;.leus lorl : cest un de plus. FALIERO. Affable en ses discours,Dans se,s actes cruel, esprit fin , âme dure,Assistant du même air au bal quà la çonneux mais plus vain, et dans sa vanitéÉpris dun fol amour de popularité,Il doit te recevoir. ISRAË en a le marin parvenu le rude et fier langage\a; trompe en lamusant; et sans prendir un soupçonDans la bouche de fer ii trouverait mon nom. FALÎERO. Mais la torture est puHe aussitôt quil soupçonne. ISRAËL. Je la supporterais de lair dont il \:\ donne. FALIERO. Tu me gagnes le cœur. LSRAEL. Vos ordres,


. Magasin théâtral. rs ;.leus lorl : cest un de plus. FALIERO. Affable en ses discours,Dans se,s actes cruel, esprit fin , âme dure,Assistant du même air au bal quà la çonneux mais plus vain, et dans sa vanitéÉpris dun fol amour de popularité,Il doit te recevoir. ISRAË en a le marin parvenu le rude et fier langage\a; trompe en lamusant; et sans prendir un soupçonDans la bouche de fer ii trouverait mon nom. FALÎERO. Mais la torture est puHe aussitôt quil soupçonne. ISRAËL. Je la supporterais de lair dont il \:\ donne. FALIERO. Tu me gagnes le cœur. LSRAEL. Vos ordres, général ? FALIERO. Jirais ù leurs regai ds mexposer dans un bal,Rendre en les acceptant leurs mépris lé mes ennemis ! ISRAËL. Non, compter vos , vivement,.le nai rien décidé. ISRAË me revoir ? FALIERO. ISRAËL,•laniais. Il fait nn pas pour . ISRAËL. A ce soir ?FALIERO , apris une pause. A ce soir ! Israël 5ort. Plus tard,. ACTE DEUXIEME, 146 palais de Lioni : salon très riche, galerie au fond ;une table où sont disposés des échecs. SCÈNE PREMIERE. JJONl, VEREZZA, deux autres Affidés du CONSEIL DES Dix, sur le devant de la scène; SERVI-TEURS occupés des apprêls dun hal ; BERTRAM, au fond,dans un coin. LIONI, bas à Verezza. On VOUS a de Sténo renvoyé la sentence ;Vous lexécuterez, mais avec État veut le punir comme un noble est puni :Des égards, du respect. VEREZZA. Le seigneur LioniMe parle au nom des Dix ? LIONl. Leur volonté suprêmeLaisse-t-elle un dentre eux parler daprès lui-même?Vous pouvez être doux, en voici lordre écrit. Le prenant à part. ]Cet autre ne lest pas : il regarde un proscritPar jugement secret traité comme il doit lêtre ;Le prisonnier des plombs : une gondole, un prêtre,Au canal Orfano. Sortez. , A ses valets. Partout des fleurs !Oue les feux suspendus et léclat des couleurs,Oue le parfum léger des roses de Byzance,Les sons


Size: 2070px × 1208px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookidmagasinth, bookpublisherslsn, bookyear1830