. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . d, et elle est si peu profonde, quedici lon ne peut pas mettre encore les équipages sur des ce matin pour dîner que je suis arrivée, et repars demain debonne heure. Jai reçu enfin, il y a quelques jours, des nouvelles dePétersbourg: lEmpereur et lImpératrice mère mont écrit par uncourrier quon envoie au Grand-Duc Michel. LEmpereur paraît trèsaffecté de la mort de sa sœur. LImpératrice paraît fort affligée aussi;lEmpereur cependant me dit que jamais il ne la vue plus calme quecette fois dans des occasions semblables; il ajoute et s


. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . d, et elle est si peu profonde, quedici lon ne peut pas mettre encore les équipages sur des ce matin pour dîner que je suis arrivée, et repars demain debonne heure. Jai reçu enfin, il y a quelques jours, des nouvelles dePétersbourg: lEmpereur et lImpératrice mère mont écrit par uncourrier quon envoie au Grand-Duc Michel. LEmpereur paraît trèsaffecté de la mort de sa sœur. LImpératrice paraît fort affligée aussi;lEmpereur cependant me dit que jamais il ne la vue plus calme quecette fois dans des occasions semblables; il ajoute et soumise: je croisdonc que cest un effet de sa résignation. Dans une lettre quellemavait écrite antérieurement à la nouvelle de la perte quelle a faite,elle me parle beaucoup de sa satisfaction et de son arrivée à Péters-bourg. Elle et la comtesse Lievcn y sont arrivées en parfaite santé, maisles deux dames plus jeunes qui les accompagnaient sont arrivées h — 76 — aurai-]»pour il Cher rendre mii If:Cite i lioîirg:. Amélie, Princesse de appartenant au Duc Georges de Mecklembourg-Strélitz. Pétersbourg toutes deux niaUidcs: cest réellcnicut prodigieux! Chèreet bonne Maman, je ne sais ce que je vous dis, jai la tête et lesyeux si fatigués que je crois que je radote, et ne me sens pas lafaculté de prolonger ma lettre. Aujourdfiui en huit, jour de poste àPétersbourg, jespère vous en dire davantage et mieux. Je vous baisemille et mille fois et bien tendrement les mains, et embrasse messœurs de même. 594. „Pétersbourg, ce 1/13 Février 1819,Samedi, à 11 heures du été bien heureuse de retrouver lEmpereur tel quil est, etlui ai su grand gré de mavoir fait arriver à Czarskoe Selo avant devenir ici. Proportionnellement, je lai trouvé lâme plus profondémentattaquée de la perte quil a faite que ne me le paraît lImpératricemère, qui parle avec beaucoup dintérêt de sujets étrangers à sesregrets et qui


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